Un podcast pour les collègues et les jeunes de la MFR !
En complément de Ankidroid !
Rhabillée pour l'hiver la candidate à la future présidentielle. Mais à travers ce portrait plein de travers apparaît une radioscopie de la bien pensance à l'oeuvre. Et ça, c'est nécessaire. Merci Frustration !!
Keeper est un jeu difficile à expliquer sans en déflorer toute la découverte, ou sans avoir l’air d’être sous l’effet de cinq buvards de LSD. Mais essayons quand même.
Vous êtes un phare pourvu de quatre frêles petites pattes, qui claudique tant bien que mal sur des terres inconnues. Vous êtes accompagné d’un petit oiseau nommé Brindille, qui va vous aider au cours de votre périple, où vous vous promènerez sur des eaux azurées, dans des grottes où tombent des stalactites violettes qui se rétractent au contact de votre lumière, ou encore dans des tunnels aux couleurs irisées qui vous donneront l’impression d'être aux premières loges de la coloscopie d’une créature née sur une planète lointaine. Vous allez vous enrober d’une espèce de barbe à papa rose qui vous permettra de planer dans les airs, explorer des jungles recouvertes de fleurs bioluminescentes, remonter dans le temps jusqu'à ce que Brindille reprenne la forme d'un œuf, vous extasier face à des environnements qui évoquent à la fois un film Pixar et un tableau de Max Ernst.
Je n'ai pas résisté à extraire le début de cet article !
Toujours d'aussi bon conseil !
Pour finir, il existe les générateurs de sites statiques (abrégés SSG). Ce sont des outils qui prennent un ensemble de fichiers textes et qui génèrent des pages HTML. Pas de PHP, pas de bases de données, un simple serveur Web suffit. Il en existe des centaines mais les plus connus sont Hugo, Jekyll, Pelican, Eleventy, Astro, Gatsby ou encore Hexo. Certains seront très extensibles en codant ou en utilisant des extensions. J’en ai utilisé plusieurs mais j’utilise personnellement Hugo pour plusieurs sites dont celui-ci depuis plusieurs années.
Personnellement, Hugo m'irait très très bien aussi.
Cet article est un bon point d'étape pour celleux qui voudraient s'y (re)mettre.
Et pendant ce temps là, la gauche regarde ailleurs, les syndicats aussi. Il n’y a plus aucune force politique pour dénoncer la guerre dans ce pays qui est décidément en état de fascisation avancée. Réveillons-nous, les dirigeants et leurs officiers nous préparent au pire !
La célèbre formule de Tancrède Falconeri dans le Guépard, « Il faut que tout change pour que rien ne change », peut-elle s’appliquer au monde de la tech ? En matière d’agents intelligents, si le contexte se modifie, les imaginaires persistent. Mais l’utopie d’hier est en train de se réaliser aujourd’hui.
Voilà-voilà, pas de voiture volante, mais une IA qui te dit comment t'habiller parce que tu ne veux pas passer la tête par ta fenêtre, ou prendre le risque de devoir retirer un pull...
Et si heures plus tard, un vent se lève, une tornade déboule dans le salon, sans prévenir...
Qui aurait pu prédire ?!!???
Plutôt que d’éliminer le mal-être, il faut réhabiliter l’ambivalence : la peur, le doute, l’imperfection. La santé mentale ne consiste pas à supprimer ces états, mais à apprendre à vivre avec eux.
Pas évident où il faut parfois des décennies 'sans réseaux-sociaux numériques) pour s'en convaincre.
Avec ces analyses, si je remonte de quarante années, je comprends mieux mon grand-père, né en 1910, passé par un camp de travail, qui nous plaignait, nous, les jeunes des 70's. Il n'aurait pour rien au monde voulu être à notre place.
Et bien comme lui, je ne voudrais pas être à la place des moins de 25 ans de nos jours. La tyrannie de la conscience de soi apparaît bien pire que l'inconscience.
Les signataires demandent une prohibition totale, maintenue tant qu’aucun consensus scientifique ni soutien populaire ne garantira une mise en œuvre sûre et contrôlable.
À qui ? Ils se le demandent à eux-même ? Aux supervillains ?
Et alors cette idée que la "prohibition totale" pourrait n'être levée qu'avec un "consensus", mouah ah ah ah, laissez nous rigoler. Ces représentants d.Etat et de structure supra nationale ne savent déjà pas agir sur la vente darle dans le monde et ils voudraient pouvoir agir sur du code informatique. Ils sont désespérants !
Tellement juste ces analyses. Et le mieux c'est encore d'en parler avec eux. Leur donner de l'écoute. So 2025
En 2013, un accident terrible se produit à Dacca, au Bangladesh, dans l’immeuble de confection textile Rana Plaza : le 24 avril, les 5000 ouvrières et ouvriers de ce bâtiment construit à la va-vite, qui avaient la veille constaté l’apparition d’immenses fissures mais avaient été forcés de retourner travailler le lendemain sous peine de licenciement, subissent l’effondrement de toute la structure. Plus de 1000 d’entre eux meurent et des milliers d’autres sont blessés. Ce drame est venu mettre en lumière les conditions de travail du textile, dont toute une partie de l’industrie a été délocalisée, depuis les années 1990, vers l’Asie. Le Bangladesh, pays gouverné par un régime qui réprime depuis des décennies le mouvement ouvrier et ses grèves, est devenu l’atelier de confection textile des multinationales du monde entier car il leur offre cette main d’œuvre sous-payée.
Pouah, ce drame, c'est comme celui de Bopahl, portion congrue...
La belle idée ! Et on substituera les aubergines cuites à la vapeur au veau.
Alors même qu’elle traverse le pont Neuf non loin de la Samaritaine pour rejoindre des amis, elle est arrêtée en chemin par Audrey Gini, directrice de casting.
« Je l’ai d’abord prise pour une touriste qui était perdue et qui allait me demander son chemin (rires). Elle m’explique rapidement son travail et que mon profil lui avait tapé dans l’œil. Quand on s’est quittées, elle m’a laissé ses coordonnées. Je n’en revenais pas, c’était tellement lunaire ! »
Est ce que ça plairait à une enfant de 18 ans et à son père ?
Dans L'Anti-Œdipe, Deleuze et Guattari décrivent le capitalisme comme une machine schizophrénique. Il détruit toutes les structures, toutes les lois, toutes les frontières, pour ensuite les reproduire sous forme de marchandises. C'est là que naît le paradoxe : la société craint la psychose, mais l'imite dans son propre rythme. La production de sens, de biens, d'identité et d'information est devenue ininterrompue, sans limite, euphorique. L'état schizophrénique — la dissolution de l'identité, le flux du désir, la perte du centre — n'est plus l'exception, mais la norme. Chez Deleuze et Guattari, la schizophrénie devient la dernière liberté de l'homme, celle qui échappe à toute organisation et crée de nouvelles connexions entre tout ce qui a été brisé.
Détruire pour ensuite reproduire sous forme de marchandises, c'est tellement ça. Je n'avais pas les mots. Les voilà. 🫥
Boulet, après le collège
À faire essayer aux collègues pour voir ce qu'ils en pensent.