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C'est cadeau, 2 titres offerts !
Ce mensuel créé en février 1969, fait une place à de la BD américaine, en particulier Peanuts dont le héros Charlie Brown donnera le nom au journal.
Le projet de Farah est déjà financé mais son livre de contes aurait fait un beau cadeau sous le sapin !
La prochaine occasion sera la bonne.
Ce pays qu'on nous raconte partout est-il vraiment celui qui est sous nos yeux ? Pas vraiment, s'amusent Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely dans ce livre de pop-géographie qui nous décrit une France bien plus plurielle et hybride que celle, toujours éternelle, dont les uns et les autres tentent de nous farcir les oreilles. Derrière la France moche se masque une France hybride, plus recomposée qu'on ne le pense, où les territoires semblent surtout se polariser, s'écarteler, comme s'ils n'étaient plus capables de discuter entre eux. Les maisons de la France qui va bien sont à deux encablures des ronds-points. Partout, les modes de consommation semblent être devenus les formes de distinction d'un pays qui semble avoir abandonné tout rapport productif. Les nouveaux clivages (le libéralisme, l'identitaire et l'écologisme), incompatibles entre eux, s'affrontent désormais jusqu'au territoires mêmes où ils s'affichent. Produisant des espaces si différents qu'ils semblent profondément irréconciliables... alors qu'une culture commune les traverse encore. Elle tient visiblement plus du barbecue, du bricolage et du jardinage que des luttes sociales ou politiques. "La France sous nos yeux" cherche visiblement à nous les faire écarquiller sur un monde qui vis côte à côte, mais plus atomisé socialement que jamais. Hubert Guillaud ((( internetactu.net ))) sur sa page FB.
Face à de tels raffinements dans la conception des jeux il convient de relativiser l’espace de décision dont disposent les joueurs. On peut difficilement parler de consommateur libre et informé. Si les joueurs achètent bien volontairement ces produits, ils n’en sont pas moins en grande partie dupés par les industriels du jeu. Nul paternalisme à constater que les joueurs français sont insuffisamment protégés des pièges cognitifs qu’on leur tend. Inviter le joueur à modérer sa pratique ou à se montrer raisonnable n’a pas grand sens si dans le même temps tout est mis en œuvre pour l’inciter à jouer toujours plus.
Ah ! Le Loup dans cache-noisette, ça promet !
Parmi les nouvelles générations, ils sont nombreux à rejoindre les villes pour les études, puis il y a ceux qui restent, souvent parce qu’ils n’ont pas les ressources nécessaires pour partir. Ceux-là tiennent néanmoins à ce mode de vie rural et populaire dans lequel « tout le monde se connaît » et où ils peuvent être socialement reconnus. Comment perçoivent-ils alors la société qui les entoure ? À qui se sentent-ils opposés ou alliés ?
À partir d’une enquête immersive de plusieurs années dans la région Grand-Est, Benoît Coquard plonge dans la vie quotidienne de jeunes femmes et hommes ouvriers, employés, chômeurs qui font la part belle à l’amitié et au travail, et qui accordent une importance particulière à l’entretien d’une « bonne réputation ».
À rebours des idées reçues, ce livre montre comment, malgré la lente disparition des services publics, des usines, des associations et des cafés, malgré le chômage qui sévit, des consciences collectives persistent, mais sous des formes fragilisées et conflictuelles. L’enquête de Benoît Coquard en restitue la complexité.
L’analyse tout en finesse du sentiment amoureux trouve en ce livre de singuliers échos. Le personnage de Madame Hayat, solaire, et celui de Fazil, plus littéraire, plus engagé, convoquent les subtiles métaphores d’une aspiration à la liberté absolue dans un pays qui se referme autour d’eux sans jamais les atteindre.
C’est l’histoire d’une jeune fille qui veut à tout prix s’engager dans la lutte contre l’occupant allemand. Madeleine Riffaud paraît frêle et menue, mais il ne faut pas se fier aux apparences, car sa détermination et son courage sont immenses. Elle n’a que dix-sept ans lorsqu’elle s’engage dans la Résistance en 1942 sous le nom de « Rainer », en hommage à Rainer Maria Rilke, l’un de ses poètes préférés.
Ce vendredi 27 août, les bibliothécaires de la médiathèque de Précy-sous-Thil (Bourgogne–Franche-Comté) ont ainsi eu la bonne surprise de recevoir la visite de l’auteur Marc Boutavant. Et il n’est pas venu les mains vides...
300 pages de BD alternative. Et hop, [À SUIVRE]
Elle propose [Jüne Plã] de mettre de côté la pénétration pour se concentrer sur les 1001 façons de se donner du plaisir autrement, de manière décomplexée, jubilatoire et bienveillante.
Bon début de vacances ;) !!!
Et si vous voulez la suivre c'est sur https://www.instagram.com/jouissance.club
Notes de lecture de l'article :
la technique n’est pas « neutre » : elle appartient en plein à la politique au sens de l’auto-organisation des gens. C’est cela que voudrait faire oublier l’idéologie technicienne qui pose la technique comme quasiment indépendante des activités humaine, autonome du monde social, auto-entretenue par essence, discours tenu par les technicistes ainsi que, à leurs corps défendant, certains de leurs opposants
À table, pour sauver l'humain, mangeons-le !
Le livre qui a inspiré le documentaire précédent.
Un polar à 12 mains !
Pour la rédaction, chacun a pris en charge une part de l’histoire. « On s’est comportés comme des joueurs d’échecs en ayant un coup d’avance pour éviter d’aller dans le mur et que l’action ne tombe à l’eau », assure l’animateur. Les chapitres rédigés étaient passés au gueuloir et présentés en public, pour que chacun prenne alors part à l’édition.
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Quand on entend le nom de Jean Teulé, quand on le lit sur une couverture, on est pris d'une irrésistible envie d'en savoir plus.
Une descente aux enfers déjantée et joyeuse, Verlaine est le roi de la fée verte, l’absinthe. Il passe de la honte à la gloire dans un Paris où la révolution industrielle creuse des fossés sociaux. Même le préfet de Police est un fan.