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Dessin
Ben merdre alors...
24 heures 24 planches, ça peut être caricaturé comme ça.
Un pur bijou, pour celle set ceux qui sont par ici, je les ai trouvé à la médiathèque du Port du Canal à Dijon.
"Le style graphique de Bruno Heitz peut, à première vue, étonner. En effet, cette approche utilisant un style quasi naïf n’est guère en vogue en bande-dessinée, encore moins dans le cas d’une série à volonté réaliste. La simplicité du trait de l’auteur de J’ai pas tué de Gaulle n'est pas si innocente que cela. Le dessinateur l'utilise pour accentuer sa représentation de l'âme rurale, le cœur de cette attachante série. Un peu frustres, quasiment bourrues, les images de Heitz racontent, avec une infinie tendresse, mais sans nostalgie, ce petit coin de France et ses habitants souvent hauts en couleurs."
À relire, vite, tant le rythme m'a happé, un peu halluciné depuis la première planche.
Et sinon l'article de ouest France est très correct non?
Dla grande bayday en tout cas.
"Zaï Zaï Zaï Zaï, de l'auteur de BD Fabcaro, vient de recevoir le prix des libraires, après le prix Ouest-France quai des Bulles et celui des critiques de BD..."
Se dévore d'un trait.
"Comme vous pouvez vous y attendre ce roman graphique est d’une froideur qui va avec le sujet. Néanmoins cela est tellement bien réalisé par LF Bollée et Philippe Nicloux que vous plongez dans ces évènements passés. Pas simple à aborder, mais...
Colloque en 2017
Je n'émets aucune critique mais cet album est à lire. Christian Lax maîtrise ses plans, sa narration et ce grain de folie qui va et viens entre flash-back et hallucinations.
Carmen Sandiego, plus rusée que les plus grands agents secrets, elle vole les plus grandes pièces d'art.
C'est une série de BD que je recherche. Si quelqu'un a ça sur ses étagères, je suis preneur...
"Surcouf aborde les grandes questions d’hier et d’aujourd’hui, en mettant en scène une société beauf allègrement raciste, sexiste et compagnie, mais encore aseptisée et surveillée à la 1984, entretenue dans la peur d’un ennemi possiblement imaginaire"
"En deux mots
Un livre surprenant, instructif, drôle et touchant qui donne un information objective sans (trop) de parti pris, hormis un amour inconditionnel pour une région qui subit avec humour et autodérision le poids de nombreux préjugés… "
Votre exposition au Lieu Unique s’appelle Groumf ! Pouvez-vous nous rappeler la signification de ce concept aux faux airs d’onomatopée ?
-Dans nos sociétés déclinantes, la tendance revient à la loi du plus fort. Les exposés documentés n’intéressent plus grand monde, ce sont surtout les punchlines qui marquent les esprits et emportent l’adhésion du plus grand nombre, moins de mots, plus facile à comprendre. D’une manière caricaturale, « Groumf ! » c’est ce qui reste quand le langage a été oublié en route et remplacé par un coup de gourdin sur la tête.
"Voilà un ovni graphique dont la lecture devient sans doute la plus grande addiction pour celui qui l’a entre les mains. Il y a de la poésie dans cette déchéance !"
"C’est d’ailleurs pour le mouvement des prisonniers de guerre qu’il entreprend le film Le Retour, pour lequel il va se retrouver à Dessau, en mai 1945 et ou il capturera ce cliché d’une femme en frappant une autre qu’elle a reconnu comme ayant été une informatrice des nazis…"
"Quand une vie que l’on pense trop bien rodée se voit bouleversée par la disparition de celui avec qui on la partage, celle-ci s’enraye. Entre rêve et réalité, c’est ce que nous conte ici Karine Bernadou !"
"Lundi 8 décembre 1980, John Lennon meurt, quelques heures après qu’un inconnu, Mark Chapman, lui a tiré dessus au pied de son immeuble new yorkais. C’est sur ce tueur minable que Rodolphe et Gaël Sejourné s’attardent ici"
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"Tout dépend si vous avez tendance à voir la bouteille de mirabelle à moitié pleine ou définitivement à sec !"