907 liens privés
On est bons là !
COUR DES COMPTES
Annexe n° 5 : éligibilité des associations au FDVA2
L’instruction N° DJEPVA/SD1B/2018/075 du 15 mai 2018 détaille les critères
d’éligibilité au FDVA2 :
-
sont éligibles, les associations de tout secteur, régies par la loi du 1er juillet 1901 et son décret d’application ou par le droit local, sans condition d’agrément ;
-
avoir son siège dans le territoire auprès duquel la demande est faite ;
-
répondre aux trois conditions du tronc commun d’agrément (TCA) fixées par l'article
25-1 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 modifiée relative aux droits des citoyens dans leurs
relations avec les administrations : objet d’intérêt général, gouvernance démocratique et
transparence financière. La définition de ces trois critères est prévue aux articles 15 à 17 du
décret n°2017-908 du 6 mai 2017 portant diverses dispositions relatives au régime juridique
des associations, des fondations, des fonds de dotation et des organismes faisant appel à la
générosité publique ; -
elles doivent respecter la liberté de conscience et ne pas proposer d’actions à visée
communautariste ou sectaire ; -
les associations défendant un secteur professionnel et celles défendant essentiellement
les intérêts communs d’un public adhérent ne sont pas éligibles ; -
ne sont pas éligibles les associations cultuelles, para administratives ou le financement
de partis politiques.
Le mot rumba lui-même, lit-on souvent, viendrait du mot bantou « nkumba », le nombril – la « rumba » ayant désigné une danse où se tutoient les nombrils des deux partenaires.
Voilà, c'est clair !
AUM !
Lucides et clairvoyants ces éleveurs de bois.
L'article fait aussi une bonne description du commerce du bois.
En août 2019, dans le cadre d’une exposition à la Maison des arts électroniques de Bâle, ils trafiquent une vieille machine Brothers des années 1980 pour réaliser d’autres essais. «Influencés par le projet All Yarns Are Beautiful, qui fournit un moyen alternatif de contrôler cette machine à l’aide d’un ordinateur, nous l’avons hackée pour qu’elle produise tous les motifs possibles, raconte Fabien Degoumois. En prenant n’importe quelle photo, le tricot du cliché se réalise.» Dans cette perspective dite d’upcycling, soit la deuxième vie d’un objet obtenue en augmentant ses fonctionnalités, leur trouvaille génère des confections dont la limite n’est que la créativité. Ils imaginent alors combiner la machine hacker avec le dispositif maker pour donner naissance à un appareil complet. Celui-ci tricoterait non seulement les formes en 3D, mais pourrait aussi effectuer n’importe quel dessin en fil.
Wow wow wow, quelle bonne idée !
Cet outil de recherche libère la parole des jeunes. Il renforce leurs potentialités d’action et de participation, en lien notamment avec les politiques publiques les concernant.
Concrètement, ces ateliers débutent par une question : comment te sens-tu écouté, entendu et compris par les professionnel·les qui t’entourent ? La réponse n’est pas orale, mais commence par la création d’un masque en carton qui illustre le sentiment intime destiné à cette personne
Pfiou, je vais me mettre au suissien moi, traverser la BFC, puis la frontière et enfin aller me former auprès de cette travailleuse sociale.
Quelque part dans cette œuvre composite où les époques, les inspirations graphiques et les techniques visuelles se fracassent les unes contre les autres, se nichent la trace vibrante du geste de cette adolescente juive, sa mémoire vive, son étincelle, sa flamme réanimée.
Rapport qualité/prix impeccable. Et techniquement, possibilité de réaliser le (beau) livre de ses rêves.
Et pour des ateliers numériques, c'est bien pratique !
La fibre optique est un mince fil de verre. Elle permet un débit internet beaucoup plus important que l’ADSL,quelle que soit la distance qui sépare le foyer de l’infrastructure réseau.
Particuliers, profitez des nouveaux usages du numérique qu’offre la fibre optique !
Une perle à poser sous le sapin !
Quand j'ai voulu monter cette licence professionnelle je suis passé par toutes les phases au mieux ubuesques et au pire kafkaïennes. On m'a fait remplir d'innombrables dossiers et formulaires sans cesse recommencés, qui n'avaient aucun autre sens que celui de m'habituer à vivre dans un monde où chaque décision, chaque choix, chaque envie et chaque idée ne vaut que si elle peut être déclinée en autant de procédures cherchant l'épuisement de la (bonne) volonté. J'ai avalé toutes les couleuvres possibles, j'ai commencé, déjà, à m'asseoir sur un certain nombre de mes principes, parce que je pensais qu'il demeurerait une possibilité de les retrouver plus tard. Que ce renoncement n'était que provisoire. J'avais tort.
Et si nous étions pas des dizaines mais des milliers à être dans le même cas ?
Je partage tout à fait le point de vue de l'auteur de cet article. Nous en parlions encore en fin de semaine avec une collègue en poste en collectivité territoriale.
Contre ce type de service, préférons la suite graphique libre : Inkscape, Gimp et Scribus. OUI c'est plus compliqué... MAIS au fil du temps on apprend, on créé des modèles, et surtout ON RESTE LIBRE !!!
Pour ce qui est des images, il est aujourd'hui possible d'en trouver de très bonnes aux conditions adaptées à nos activités. Ou bien allez à l'extérieur de son bureau, dégainer son smartphone à plusieurs centaines d'euros et pixels : YAPUKA !
Conçu par l'Atelier des chercheurs pour documenter et créer des récits à partir d'activités pratiques, do•doc (prononcer doudoc) est un outil libre et modulaire, qui permet de capturer des médias (photos, vidéos, sons et stop-motion), de les éditer, de les mettre en page et de les publier. Son design composite permet de le reconfigurer de manière à ce qu'il soit le plus adapté possible à la situation dans laquelle il est déployé.
Face à l’urgence climatique et l’empreinte environnementale conséquente du numérique, et l’impératif de repenser le numérique pour qu’il soit porteur de valeurs plus inclusives et éthiques pour les femmes et les hommes de notre société, l’INR et ses partenaires proposent un MOOC sur le numérique responsable pour permettre à toutes et à tous de s’informer et se former aux bonnes pratiques.
.
Pour cette 2ème édition, l’INR réunit une Région et une Ville, toutes deux membres de l’association. La Région Nouvelle-Aquitaine sera représentée par Mathieu Hazouard, Conseiller Régional en charge du Numérique et THD, et Gérard Gouron, élu de la majorité à la Ville de La Rochelle, Conseiller délégué Énergies et transition énergétique Éclairage public.
Tout deux tenteront de décrire comment créer un territoire « Numérique Responsable ». Ils décriront les politiques numériques menées au sein de leur collectivité et leur vision d’un numérique plus responsable, c’est-à-dire plus soutenable pour la Planète et pour l’Homme.
les adultes commencent : Bien souvent, nous donnons le goût des écrans aux enfants. Les écrans sont en effet bien utiles pour occuper des enfants qui s’ennuient, pour reposer des enfants fatigués, pour faire patienter ceux qui ont faim ou encore pour les calmer quand ils sont excités ou que nous voulons le calme.
Il ne s’agit pas ici de dire que les parents qui mettent leurs enfants devant un écran sont irresponsables, coupables de tous les maux ou de “mauvais” parents mais simplement de constater que ce sont les adultes qui commencent et qui portent donc la responsabilité de la qualité à la fois de l’environnement proposé et de la relation.
Au gré de leurs besoins, les villes étendent leurs frontières sur les territoires voisins. C’est le cas pour l’alimentation en eau potable, et comme d’autres villes, Dijon à partir de 1939 dépend de ressources exogènes. La nappe de la Saône devient une ressource clé de son développement. Grâce aux infrastructures hydrauliques, la ville se déploie et crée une souveraineté sur les communes de sa périphérie avec lesquelles elle fait commerce d’eau. Les lois de décentralisation lui donnent de nouvelles prérogatives sur la gestion durable de la ressource des bassins versants, un défi à relever en contexte de changement climatique. L’extension réticulaire et spatiale de la ville est parfois interrogée voire contestée par d’autres acteurs : certaines communes en quête d’autonomie en eau ou le Département de la Côte d’or.
Objectifs d'apprentissage
Comprendre ce qu'est l'Education aux Médias et à l'Information (EMI)
Appréhender sa relation complémentaire avec l'enseignement de l'Esprit critique
Connaitre la fabrique de l'information et de la désinformation (en particulier visuelle) à l'ère numérique
Se familiariser avec la vérification de l'information, et la maîtriser
Comprendre la nature et les enjeux de la réfutation comme outil contre la désinformation
Monter son propre projet EMI pour lutter contre la désinformation
Alors que nos données de santé sont plus protégées que jamais depuis le Règlement général sur la protection des données (RGPD), elles ont été rendues plus disponibles que jamais, que ce soit via le passe sanitaire comme via les bases de données créées à l’occasion de la crise sanitaire.