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Des années que je suis André Gunther. Cest toujours aussi inglligent et nécesaire de le lire.

"Aujourd’hui, quand on publie en presse, on est conscient qu’on diffuse des images vouées à circuler. D’un autre côté, si on reste strictement dans les clous du droit, on cesse d’informer. On a pour principe de ne pas flouter, mais plutôt de jouer sur le cadrage, la lumière ou d’autres facteurs, pour conserver à l’image son caractère de document."
(Interview par deux historiens de Lionel Charrier, responsable du service Photo de «Libération»)

"Sur le chemin de l'émancipation collective, la police est l'institution qui emploie la violence pour nous barrer le passage. "

"Il s’agit là aussi de montrer que quiconque prend la rue, participe à ces mouvements, sera potentiellement pris pour cible"

[[Et peut être qu'il faut un compte pour voir l'image... je ne sais même pas si elle est publique ma publication sur twitter]]

Contexte : UNE de journal dérapant (à base de) tranquillement dans la putasserie.
Le Bien Public |Côte d'Or |BFC| |France | 9 janvier 2016

Alors donc sur Twitter, j'ai demandé publiquement @lebienpublic et @le csaudiovisuel ce qu'il se passait ?

Qu'est ce que le titre de presse quotidienne régionale entend par le mot 'déja' et le mot "canon"...

Il s'agit d'une enfant de pas 5 ans qui job pour la marque Cadum. Le titre Le BienPublic semble appartenir au Progrès.
On est pas chez les bisounours, OK, mais merdre.

24 heures après
Rien, pas de réponse...
les community manager sont pas très très honnêtes non ?

Votre avis m'intéresse si vous avez 2 minutes.
Je ne suis pas un monomaniac des causes perdues mais là, les bras m'en tombent :((

Merci d'avance pour VOS COMMENTAIRES et re-DIFFUSION :)

Pif paf pouf, une mandale dans les chicots...
«Car le célèbre livre rouge, qu’on dit complexe et illisible, serait, bien sûr, le responsable du chômage, de la crise, de la misère sociale (et pourquoi pas aussi de la guerre en Syrie ?).