4922 shaares
L'ami Philippe Pataud Célérier faisait déjà vraiment bien le boulot en 2o15.
Avec une économie de moyens et de gestes qui est aussi celle de « l’homme sans nom » ; un mimétisme en miroir entre le cinéaste et son sujet, le cinéaste et son absence de moyens. Plus qu’un style, il y a là une relation complice et toujours implicite entre le cinéaste et ceux qui n’ont rien.