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Étape n°2 : Une fois que vous avez reçu le fichier contenant vos données personnelles (ce qui peut prendre un peu de temps en fonction de l'organisme), analysez-le dans notre module dédié.
Vous n’avez pas eu de réponse de l’organisme ?
Utilisez notre formulaire « Exercer vos droits » , l'UFC-Que Choisir vous accompagne dans votre demande relative à vos données personnelles.
A vos droits, prêts, exercez !
Belle dé-monstr-ation !
La machine démontre des lectures et connaissances approfondies sur des sujets immenses. Une parfaite maîtrise sémantique : justesse du vocabulaire, ordre d’apparition des idées, situations sémantiques variées (dialogues, articles, démonstrations étayées plus ou moins longues, on peut lui demander une réponse en x mots ou caractères, écriture de chansons…). Elle produit en plusieurs langues. De manière extrêmement rapide, ces réponses surgissant du tac au tac.
Je crois que je vais inaugurer le hashtag #lézécrans comme Vincent Bernard sur FB, ça ira plus vite pour retrouver les paquets d'articles qui prolifèrent.
Comprendre le fonctionnement d’une tablette numérique, se repérer sur internet en toute sécurité et la découverte des réseaux sociaux pour lien social.
Bientôt à Vitteaux, en HotCoteDor !
N'allez pas croire qu'un jeune, parce qu'il est jeune, maîtrise forcément les outils numériques, rappelle-t-elle : "La plupart ne savent pas bien utiliser les ressources numériques, que ce soit la recherche ou toutes autres ressources pour trouver de l'info, et n'ont pas d'ordinateur. Faire une recherche sur mobile, c'est une expérience complètement différente. Dès qu'on les met devant de vraies démarches administratives ou de vraies phases de recherches, ils sont complètement désemparés."
Tout de bon cet article.
L’essayiste et avocat Laurent Cohen-Tanugi, nous avait expliqué que l’environnement numérique révèle trois caractéristiques principales avec :
- le caractère structurant des nouvelles technologies de l’information et de la communication, fondatrices d’un nouveau paradigme économique, mais aussi de nouveaux usages sociaux, culturels, politiques ;
- le caractère hiérarchisé de l’univers numérique, dans ses dimensions économique, sociale et géopolitique
- Un caractère régulé ou régulable, et la spécificité de cette régulation. Pour l’Europe le RGPD en fait foi même si cette régulation reste largement insuffisante.
Et donc, si vous voulez vous forger une idée sur chatGPT, commencez à l’utiliser pour en découvrir les forces et les faiblesses. Tirez parti des premières et soyez indulgents pour les secondes ; regardez-le évoluer, comme pour la traduction automatique. En bref, ignorez les professeurs de morale et les experts trop sûrs d’eux-mêmes et jouez avec. Amusez-vous bien !
J'ai donc commencé à m'amuser avec ce chatGPT et son pendant "image", Dall-E, depuis le site https://chat.openai.com/ et ça donne une entrée sur des champs des possibles que je ne soupçonnais pas.
Ce Philippe Piekoszewski-Cuq a fait du bon boulot. Et si ça devenait une porte d'entrée vers plusieurs ateliers...
Depuis plusieurs semaines, de nombreuses personnes sont victimes de tentatives de sextorsion. Recevoir un email envoyé depuis votre propre adresse qui commence par «Vous vous demandez probablement pourquoi vous recevez un mail depuis VOTRE propre adresse, n'est-ce pas?»...
Si vous pensez que tout ça n’est qu’une bonne vieille arnaque et qu’il suffit d’aller faire un tour dans vos mails envoyés pour vous en assurer, félicitations.
Une donnée personnelle est définie comme tout élément d’information pouvant vous identifier directement ou indirectement. Il s’agit par exemple de votre nom, de votre adresse physique ou e-mail, du lieu où vous vous trouvez, ou encore de votre historique de navigation. Cela inclut aussi les identifiants en ligne comme l’adresse IP de votre ordinateur ou les cookies conservés dans votre navigateur Internet et utilisés pour vous associer aux appareils et services que vous utilisez.
Les nouvelles technologies sont en fête avec cette nouvelle édition de Vivatech. L'occasion pour les observateurs de prendre le pouls du marché, et pour les grands de ce monde de prêcher la belle parole de l'innovation. Un exercice bien maitrisé et parfaitement exécuté, mais qui se heurte à la réalité de millions de collaborateurs auxquels…
Concernant le contrôle parental, nous apprenons à rechercher de l’information sur Internet, installer et paramétrer une application. Si le parent arrive seul, à trouver, installer et utiliser la solution qui lui convient, nous avons relevé le défi de son autonomie numérique…
Depuis quand, et pourquoi vous intéressez-vous au thème de la parentalité à l’ère numérique ?
Depuis 2018, lorsque à la suite d'une conférence du Docteur Ducanda, la municipalité a décidé de faire quelque chose pour lutter contre lézécrans.
On était d’accord, il fallait faire quelque chose. Ce n’est pas possible de laisser des paniques morales se propager…
Qu’est-ce que recouvre cette thématique pour vous ?
La problématique centrale concerne l’éducation aux médias, autrement dit :
“Comment accompagner au mieux son enfant dans les mondes numériques ?”
Sur cette problématique se greffent les questions d’équipement et de compétences informatiques nécessaires pour suivre la scolarité des enfants. Nous distinguons clairement les deux. Ce sont des temporalités et des approches distinctes. D’ailleurs, ce n’est pas le même médiateur qui intervient. Le premier est dédié à la culture numérique, l’autre à l’inclusion. Il s’agit de deux approches qui requièrent des connaissances, des méthodologies et des postures différentes.
Conférence d'Anne Cordier, enseignante-chercheuse en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lorraine, spécialiste des usages et pratiques numériques, particulièrement des jeunes, ainsi que de leurs usages et pratiques de l'information et des médias. Alors que l'existence d'une "culture numérique adolescente" est établie, celle d'une culture numérique enfantine reste un impensé tant pour la recherche que pour le monde social et éducatif. Nous nous interrogerons sur cet "angle mort" de réflexion éducative, puis ferons état d'une démarche de recherche qui a consisté à caractériser et documenter les pratiques numériques d'élèves scolarisés en cycles 2 et 3 dans la famille et dans la classe.
Préhistoire !
Le concept même de logiciel n’est pas évident. Comme le rappelait Marion Créhange, la première titulaire d’un doctorat en informatique en France, la manière d’influencer le comportement des premiers ordinateurs était de changer le branchement des câbles. Un programme était littéralement un plan de câblage qui nécessitait de s’arracher les mains sur des fils.
Simple, basic, Unix !
Dans ses réflexions, Thompson n’a qu’un mot à la bouche : « simplicité ». C’est d’ailleurs lui qui va pousser Ritchie à ce que le langage « C » s’appelle ainsi. Une lettre, c’est simple, efficace. Cette idée de simplicité sous-tend toute l’architecture d’Unix : plutôt que de faire un énorme système hyper complexe qui fait tout, on va faire des petits programmes et leur permettre de s’utiliser l’un l’autre. L’idée est révolutionnaire : un programme peut utiliser un autre pour obtenir une fonctionnalité. Arrive même l’idée du « pipe » qui permet à l’utilisateur de construire ses propres chaines de programmes. Cela semble évident aujourd’hui, mais c’est un progrès énorme à une époque où les concepteurs de systèmes d’exploitation tentent de faire un énorme programme capable de tout faire en même temps. Cette simplicité est d’ailleurs encore aujourd’hui ce qui fait la puissance des systèmes inspirés d’Unix. C’est également ce qui va permettre une vague de collaboration sans précédent : chaque individu peut désormais créer un petit outil qui va accroitre exponentiellement les capacités du système global.
Globalization & Corporation, ton univers impitoyable.
En 1980, un changement politique se fait en occident avec l’élection de Margaret Thatcher au Royaume-Uni et de Ronald Reagan aux États-Unis. Leur doctrine pourrait se résumer en « faire passer les intérêts des entreprises avant ceux des individus ». La recherche, la collaboration, le partage et l’empathie sont devenus des obstacles sur la route de la recherche de profit. Plusieurs grandes mesures vont voir le jour et avoir une importance extrêmement importante, tant sur l’industrie du logiciel que sur notre avenir.
Les concepts de collaboration et de bien-commun sont eux immolés sur l’autel de l’anticommunisme. Faire du profit à tout prix devient un devoir patriotique pour lutter contre le communisme. Cela a tellement bien fonctionné que malgré l’écroulement total du communisme, le concept du bien commun est rayé du vocabulaire. Plus de 30 ans après la chute du mur de Berlin, les gouvernements et les institutions publiques comme les universités doivent encore justifier leurs choix et leurs investissements en termes de rentabilités et de profits futurs.
À propos de la licence du logiciel (propriétaire) :
Grâce à la propriété intellectuelle, le logiciel reste la propriété du fournisseur. On n’achète plus un bien, on achète le droit de l’utiliser dans un cadre strictement défini.
À contrario (ou pas), un des 4 piliers du logiciel libre se découpe, en silhouette :
Notons que cette innovation commerciale (la licence) découle en droite ligne de l’importance morale accordée aux profits. Si l’utilisateur ne peut plus acheter, stocker, réparer et réutiliser un bien, il doit payer à chaque utilisation. L’utilisateur est clairement perdant par rapport au cas d’usage où il achèterait le logiciel comme un bien dont il peut disposer à sa guise.
Les hackers ont du cœur :
Pour perpétuer l’esprit UNIX initial, cet esprit frondeur et hacker, l’université de Berkeley met au point la licence BSD. Cette licence dit, en substance, que vous pouvez faire ce que vous voulez avec le logiciel, y compris le modifier et le revendre, à condition de citer les auteurs.
Richard Stallman et l'imprimante :
Ni une ni deux, RMS démissionne du MIT, où il gardera néanmoins un bureau, pour lancer la Free Software Foundation, la fondation pour le logiciel libre. Son idée est simple : l’industrie vient de confisquer aux informaticiens la liberté de faire tourner les logiciels de leur choix. Il faut récupérer cette liberté.
Il théorise alors les quatre grandes libertés du logiciel libre :
Le droit d’utiliser un logiciel pour n’importe quel usage
Le droit d’étudier un logiciel pour le comprendre
Le droit de modifier un logiciel
Le droit de partager un logiciel et/ou ses modifications
Aujourd’hui, on considère « libre » un logiciel qui permet ces quatre libertés.
Paranoïd ou extra-lucide ?
Si vous utilisez un logiciel propriétaire, vous ne savez pas ce qu’il fait de vos données, que ce soit de données scientifiques, des données personnelles, des documents dans le cadre du travail, des courriers. Un logiciel propriétaire pourrait même envoyer vos données privées aux concepteurs sans votre consentement. L’idée paraissait, à l’époque, issue du cerveau d’un paranoïaque.
En guise de conclusion :
Les pouvoirs publics et les réseaux éducatifs se sont, le plus souvent, laissé prendre au mensonge qu’utiliser les nouvelles technologies était une bonne chose. Que les enfants étaient, de cette manière, éduqués à l’informatique.
Utiliser un smartphone ou une tablette éduque autant à l’informatique que le fait de prendre un taxi éduque à la mécanique et la thermodynamique. Une personne peut faire des milliers de kilomètres en taxi sans jamais avoir la moindre notion de ce qu’est un moteur. Voyager avec Ryanair ne fera jamais de vous un pilote ni un expert en aérodynamique.
L’informatique est devenue une infrastructure humaine trop importante pour être laissée aux mains de quelques monopoles commerciaux. Et la seule manière de leur résister est de tenter de minimiser leur impact sur nos vies. En refusant au maximum d’utiliser leurs solutions. En cherchant des alternatives. En contribuant à leur création. En tentant de comprendre ce que font réellement ces solutions « magiques », avec nos ordinateurs, nos données et nos esprits.
Le logiciel libre et l’open source sont la seule solution que j’envisage pour que les ordinateurs soient des outils au service de l’humain. Il y a 20 ans, les idées de Richard Stallman me semblaient extrémistes. Force est de constater qu’il avait raison. Les logiciels propriétaires ont été essentiellement utilisés pour transformer les utilisateurs en esclaves des ordinateurs. L’ordinateur n’est alors plus un outil, mais un moyen de contrôle.La responsabilité en incombe à tous les militants, qu’ils soient écologistes, gauchistes, anticapitalistes, socialistes, voire même tout simplement locaux. On ne peut pas militer pour l’écologie et la justice sociale tout en favorisant les intérêts des plus grandes entreprises du monde. On ne peut pas militer pour le local en délocalisant sa propre voix à l’autre bout du monde. La responsabilité en incombe à tous les politiques qui ont cédé le contrôle de pays, de continents entiers à quelques entreprises, sous prétexte de gagner quelques voix lors de la prochaine élection.
Voilà le contexte :
Complètement inexistante il y a à peine soixante ans, l’industrie informatique est aujourd’hui devenue la plus importante du monde.
Et voici un classement boursier qui en dit long :
En termes de capitalisation boursière, l’entreprise la plus importante du monde à l’heure où j’écris ces lignes est Apple. La seconde est Microsoft. Si l’on trouve un groupe pétrolier en troisième place, Alphabet (ex-Google) vient en quatrième et Amazon en cinquième place. En sixième place on trouve Tesla, qui produit essentiellement des ordinateurs avec des roues et, en septième place, Meta (ex-Facebook). La place de Facebook est particulièrement emblématique, car la société ne fournit rien d’autre que des sites internet sur lesquels le temps de cerveau des utilisateurs est revendu à des agences publicitaires. Exploiter cette disponibilité de cerveau également le principal revenu d’Alphabet.
De l'avènement du logiciel comme succion prédatrice du temps de cerveau disponible, épaulé par le marketing :
Nous pouvons donc observer qu’une partie importante de l’humanité est sous le contrôle de logiciels appartenant à une poignée de sociétés américaines dont les dirigeants se connaissent d’ailleurs intimement. Les amitiés, les contacts entre proches, les agendas partagés, les heures de nos rendez-vous ? Contrôlés par leurs logiciels. Les informations que vous recevez, privées ou publiques ?Contrôlées par leurs logiciels. Votre position ? Les photos que vous êtes encouragés à prendre à tout bout de champ ? Les produits que vous achetez ? Contrôlés par leurs logiciels ! Le moindre paiement effectué ? Hors paiements en espèce, tout est contrôlé par leurs logiciels. C’est encore pire si vous utilisez votre téléphone pour payer sans contact. Ou Paypal, la plateforme créée par… Elon Musk. Les données des transactions Mastercard sont entièrement revendues à Google. Visa, de son côté, est justement huitième dans notre classement des sociétés les plus importantes.
Pour regagner son libre arbitre, je ne vois qu’une façon de faire : comprendre comment ces plateformes agissent. Comprendre ce qu’est un logiciel, comment il est apparu et comment les logiciels se sont historiquement divisés en deux catégories : les logiciels propriétaires, qui tentent de contrôler leurs utilisateurs, et les logiciels libres, qui tentent d’offrir de la liberté à leurs utilisateurs.
Et puis :
Les logiciels ne sont pas « magiques », ils ne sont pas « sexys » ni « hypercomplexes ». Ce ne sont pas des « nouvelles technologies ». Tous ces mots ne sont que du marketing et l’équivalent sémantique du « lave plus blanc que blanc de nos lessives ». Ce ne sont que des mots infligés par des entreprises au pouvoir démesuré dont le cœur est le marketing, le mensonge.
Pour illustrer ce que Microsoft fait aux communs :
Le texte a cependant des limites. Imaginons que nous souhaitions lui ajouter une mise en forme. L’une des solutions serait de définir un format complètement différent du texte standard (ASCII ou UTF-8). C’est ce qu’a fait par exemple Microsoft avec Word et le format .doc (ensuite devenu .docx). L’intérêt est évident pour l’entreprise : une fois qu’un utilisateur sauve ses données au format .doc, il est obligé d’utiliser Microsoft Word pour y accéder. Il ne peut pas utiliser un concurrent, car le format est propriétaire et que seul Microsoft Word permet d’ouvrir les documents. L’utilisateur doit donc convertir toutes ses données, ce qui peut être très long, voire impossible. L’utilisateur est prisonnier d’un logiciel appartenant à une entreprise. Ce n’est pas un détail, c’est une technique commerciale sciemment mise au point. Le terme technique est « vendor lock-in ».
Impeccable définition :
Sous le terme « Intelligence artificielle », nous avons en fait conçu des systèmes statistiques à prophéties autoréalisatrices. Le simple fait de croire que ces systèmes puissent avoir raison crée de toutes pièces une réalité dans laquelle ces algorithmes ont raison.
Les fieffés coquins, les vils manipulateurs, les ourdisseurs de consentement, grrrrr :
Ces entreprises cherchent également à cacher le plus possible le fonctionnement d’Internet tel que je vous l’ai expliqué. Elles tentent de le rendre incompréhensible, magique, mystique. Elles s’opposent légalement à toute tentative de comprendre les protocoles et les formats qu’elles utilisent. C’est à dessein. Parce que (dès) que la compréhension est la première étape, nécessaire et indispensable, vers la liberté.
Tenter de le comprendre est un devoir. Une rébellion. Si mon écran me captive autant, s’il affiche ces données particulières, c’est parce que d’autres êtres humains y ont un intérêt majeur. Parce qu’ils l’ont décidé. Et ce n’est (pas) probablement pas dans mon intérêt de leur obéir aveuglément. Ni dans celui de la société au sens large.
Si vous n'utilisez pas OneDrive, voici comment le désactiver et supprimer son icône du volet de navigation de l'explorateur de fichiers de Windows 10.
« Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les écrans sans jamais oser le demander »
L’Ireps Nouvelle-Aquitaine et L’Agora·MDA sont très heureux de partager ce document réalisé au cours du
dernier trimestre 2021 et dont la vocation est de contribuer à la construction d’une culture professionnelle des
usages numériques juvéniles.
En effet, si les adolescents sont indéniablement les spécialistes des « boutons » et des services proposés par
leurs applications favorites, notre rôle de professionnel est de les sensibiliser, ainsi que leur famille, aux enjeux
sous-jacents.
Au contact direct de cette génération « connectée », votre quotidien vous oblige à comprendre le sens et
les usages du plus grand nombre, à accompagner les conséquences de certains mésusages mais surtout à en
connaitre les enjeux. Cette nouvelle mission éducative, à la croisée de la culture adolescente et des mondes
numériques nécessite pour chacun un effort de formation.
Perso, je suis fan des illustrations, et de la pluralité des propos. Et vous ?