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Asymétrie des pouvoirs et illusions, ça illustre assez bien les blocages sociaux des temps modernes...
Au cours de l'été 1995, fidèles à ce qui est désormais une tradition, pensionnaires et soignants de la clinique psychiatrique de La Borde se rassemblent pour monter la pièce de théâtre qu'ils joueront le 15 août. Au fil des répétitions, le film retrace les hauts et les bas de cette aventure... Mais au-delà du théâtre il raconte la vie à La Borde, le temps qui passe, les petits riens, la solitude, la fatigue, les moments de gaieté, les rires, et l'attention profonde que chacun porte à l'autre...
Et donc je me suis dit “tiens, je vais faire un épisode bizarre. Un petit truc pour démarrer l’année en douceur… Je vais écouter deux personnes discuter… et puis voir ce que ça provoque, à quoi ça me fait penser….” Une petite forme modeste….
Enquête menée comme un thriller, « La Filière » raconte une histoire d’amour et d’espionnage, de secrets, de cavales et de doubles vies. L’histoire d’une famille de nazis… la famille Wächter.
Où on comprends mieux l'expression "laver plus blanc que blanc" grâce à John Le Carré. Où Rome et son Vatican ne gagne pas à être reconnu. Et où l'amour brouille plus que le discernement. Superbe enquête de Philippe Sands et narration qui tient en haleine, et apporte profusion d'informations.
Complément d'info : https://www.radiofrance.fr/franceculture/le-nouveau-podcast-de-france-culture-la-filiere-une-enquete-de-philippe-sands-8733183
Jace et son célèbre Gouzou font partie du patrimoine de La Réunion, et de mon salon !!!
Ça sort ces jours-ci mais ça m'étonnerait que ça passe en #HotCôteDor...
[...] la réalisatrice restitue le parcours de rupture de nombre d’enfants pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance. Elle parle du ratage d’un dispositif qui ne sait pas toujours écouter les enfants, les accueillir au plus près de leurs besoins et leur souffrance. Elle parle à demi-mots de son propre sauvetage par les lettres, le cinéma, là où son frère tente de se sauver dans la fuite et le passage à l’acte.
De la culture, japonaise, à un gros câlin, mondial !
Comme vous, peut-être, après avoir vu Totoro, j’ai eu l’impression qu’Hayao Miyazaki, le réalisateur et scénariste, m’avait fait un gros câlin en me disant, courage, on est là, Totoro est là. Je suis entré dans cet univers-là et… j’avoue que j’en suis jamais vraiment sorti…
Après s'être intéressée à des traditions aussi particulières que le fameux Jour des morts, typique de la culture mexicaine, ses efforts picturaux semblent dorénavant se focaliser sur l'absurdité de notre XXIe siècle hypermédiatique, sur sa vulgarité et sa folie normative. Un univers de câbles et de rouages dans lequel notre humanité achève de s'effondrer, engloutie sous la pression des algorithmes et de la spéculation.
Ses dessins sont vraiment saisissant pour ce qu'ils présentent d'excès. Mais encore une fois, la messagère n'y est pour rien si c'est violent, dur ou... excessif. C'est bien de la réalité vécu par une majorité de l'humanité dont mette en lumière les dessins de cette artiste.
Sa série de collages “Femme-Maison”, questionne l’image de la femme contemporaine, forte, libre et autonome, capable de porter sa propre architecture sur soi… sa maison.
N’y cherchez pas un documentaire sur l’enfer des hôpitaux chinois en temps de Covid-19. H6, premier long-métrage de sa réalisatrice Ye Ye, est un essai sur le « pessimisme joyeux » des Chinois lorsqu’ils sont confrontés à la maladie et à la mort. C’est un portrait en creux de la Chine, ce Leviathan inarrêtable, dont le corps est une population « trop nombreuse » – disent les Chinois eux-mêmes -, à la fois contrainte, obéissante et pourtant libre à sa manière.
Avec cette enquête monumentale, découpée en trois parties,le cinéaste édifie pour ces souffrances et ces morts oubliées le mémorial que la Chine leur refuse.
Que serions-nous sans le mucus ? Allons-nous tous vivre sur l’eau ? Quel est le poids du vivant ? Pour le savoir, rendez-vous dans la nouvelle série documentaire scientifique d’ARTE. Clin d’œil au Guide du voyageur galactique de Douglas Adams dans lequel le nombre 42 apporte la réponse ultime, elle décortique des questions existentielles, et a réponse à tout... ou presque.
'> Au début du XXe siècle, trois graphistes germanophones, les Allemands Lucian Bernhard et Ludwig Hohlwein, ainsi que l’Autrichien Julius Klinger ont révolutionné le monde de la publicité.
L'art de la publicité, dont l'essor récent est intimement lié à celui de l’industrialisation, a connu un tournant majeur à Berlin, Munich et Vienne, au début du XXe siècle. Trois graphistes, les Allemands Lucian Bernhard et Ludwig Hohlwein, ainsi que l’Autrichien Julius Klinger décident alors de mettre leur talent au service des industriels de l’automobile, du tabac ou de la mode. Simplifiées à l’extrême, leurs Sachplakaten (affiches-objet) ne ressemblent plus en rien aux publicités de style Art nouveau : désormais, les biens de consommation et leur marque sont placés au centre des affiches publicitaires. Une révolution.
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En alternant films d’archives, entretiens récents avec les joueuses et séquences de dessins animés, le réalisateur de quarante-trois ans nous offre un film haletant qui scotche le spectateur à son siège tant par l’image – il s’agit d’un film de cinéma prévu pour le grand écran – que par le son – qui jouit d’un effort tout particulier grâce à une bande originale composée par Jason Lytle, le leader du groupe californien Grandaddy.
Bien envie d'être scotché moi !
Y'en a bon modèle économique n'est-il pas ???
[...] vos téléphones vous espionnent et collectent des données très personnelles sur votre religion, votre moral ou votre grossesse sans votre consentement. Par exemple, lorsque vous vous connectez sur des sites de santé, vous transmettez des informations qui vont être envoyées à votre insu [...]
Brrrr, tendons l'oreille !
Le 9 thermidor de l'an II (27 Juillet 1794), Robespierre est renversé par la Convention. Il est guillotiné le lendemain. Massacres, mises à mort, horreur, despotisme... Ses adversaires dénoncent en les mettant à son compte bien des crimes : retour sur la construction d'un récit sur les « crimes de la Terreur ».
Montrer ce documentaire avant ses 15 ans à sa fille ? Ça me semble souhaitable non ?
Si j'aurais su j'maurais fait dépister... mais avec des SI.
Bref, à regarder. Et faites vous dépister.