Scénarisé par Eric Meyer qui fut pendant plus de trente ans journaliste en Chine, l’album commence par des pages sur l’enfance de Xi qui seront une découverte pour la plupart des lecteurs. On y voit l’environnement dans lequel est élevé un « petit prince rouge » (c’est le titre du premier chapitre). Fils de ministre, l’enfant baigne dans le culte de la Révolution tout en menant une existence des plus privilégiées : belle villa, école et plage réservées à l’élite… Des privilèges totalement justifiés par le fait que « on était les gosses de l’élite, ceux qui, de père en fils, vivaient jour et nuit pour la Révolution ». Ce qui vaut des perles comme la suivante : alors que la mère de Xi s’émeut d’avoir vu un vieillard misérable à la porte de sa résidence, son mari lui reproche son « sentimentalisme de bourgeois libéral »
Histoire de tester des OS, et surtout de pouvoir tout casser et recommencer, etc.
Maud et Elsa Lecarpentier, François Jarrige · Extraits de la bande dessinée "Toujours puce, les macrodégâts de la microélectronique"
La supposée transition numérique en cours conduit à un accaparement croissant de l’eau, accentuant les dynamiques anciennes du capitalisme industriel. Seule la réduction de ce secteur, la baisse de ses productions, et la contraction des usages numériques permettrait d’enrayer la crise qui se dessine. Voilà en quelques mots l’inévitable conclusion qui surgit à la lecture de cette passionnante enquête graphique et dessinée.
🤔🧠🫂
Ah ah ah, ça n'est pas drôle en fait, mais c'est bien la réalité. Je connaissais cette histoire avec l'achat d'un billet d'avion. Tous les jours en allant voir la page, une madame voyait le prix augmenter. Donc après plusieurs jours, pensant qu'il n'y aurait plus de place, elle conseilla à ses amis d'acheter leur place. Et quand la madame vida le cache de son navigateur préféré elle s'aperçut que la page du billet était revenue à son prix de départ.
Tiens j'essaierais bien ça...
Le groupe Bérurier Noir, né au sein de cette mouvance en février 1983, est devenu en quelques années, grâce à une popularité inattendue, le porte-drapeau d’une forme de rébellion artistique prônant une indépendance totale face aux majors de l'industrie musicale et affichant une volonté de contrôler entièrement son destin artistique sur l’exemple d’autres expériences européennes post-punk anarchisantes issues des squats et des marges, comme les groupes et collectifs Crass en Grande-Bretagne ou The Ex aux Pays-Bas. Pour faire connaître cette expérience, deux membres du groupe, FanXoa, chanteur et auteur-compositeur-interprète, et Masto, saxophoniste et photographe, ont versé leurs archives au département de la musique de la BnF à l’été 20211 .
Asymétrie des pouvoirs et illusions, ça illustre assez bien les blocages sociaux des temps modernes...
Les arbres et les champignons ont créé le plus grand réseau au monde, ce chercheur explique pourquoi
"Une bonne partie du livre est consacrée à ce peuple souterrain. L'essentiel du monde des champignons est invisible à l’Homme. C'est un réseau de filaments qui s’insinue sous les feuilles, qui se déroule dans l'humus et le sol et qui connecte les arbres les uns aux autres."
addict to
Que ne ferait pas l'industrie ?
counca a écrit :
J'ai trouvé une solution très simple :
créer une troisième colonne et mettre la formule suivante qui copie le contenu de la cellule 1 de colonne A avec celui du contenu de la cellule 1 de colonne B : : =A1&" "&B1
Il suffit ensuite de copier cette formule pour toutes les cellules situées dessous.
et bin
Marqué par des années de prison, Djo, livreur de colis en banlieue parisienne, vit modestement chez sa mère avec sa fille.
Un jour, une tante qui vient de fuir le conflit ivoirien débarque chez eux avec ses trois enfants. Dans l’urgence, Djo réussit à leur trouver un local.
Mais face à la demande croissante et dans la perspective d’offrir une vie décente à sa fille, Djo bascule et devient marchand de sommeil.
Je vous aurai prévenu : la moutarde numérique monte au nez | by Vincent Bernard | Mar, 2023 | Medium
Pour ne donner qu’un exemple, on peut évoquer ces élus locaux qui lors de sorties sur le terrain publient également des images de mineurs sur les réseaux sociaux. Aussi, il est dommage que l’exposé des motifs accorde autant de place à l’argument caricatural de la pédopornographie en regard des problématiques concrètes que le numérique soulève au quotidien.
"De plus en plus, j’ai l’impression qu’on ne me demande non pas d’être un médiateur, mais une sorte d’évangéliste du numérique."
Vincent Bernard, merci pour ton coup-de-gueule comme l'écrit Loic Gervais, cette phrase me colle à la peau.
On pourrait aussi parler de la solitude des médiatrices et médiateurs face au "fatalisme" des employeurs publics dont l'imaginaire est là aussi dévasté, ayant pour marotte les vilains écrans ; en milieu urbain, je ne sais pas, mais en ruralité, comme on dit par ici, c'est morne plaine. L'écran, au sens strict, définit par le Petit Robert (en ligne) : "Objet interposé qui dissimule ou protège". Alors #Lézécrans, il semble qu'ils soient bien là pour cacher, à la vue d'autrui, des problèmes et solutions communes.
Pour la protection des mineurs, je n'ai pas de point de vue, ni d'opinion arrêtée, par contre quand on creuse sur la manière dont une plateforme comme TikTok s'empare des cerveaux, j'aurai bien une petite idée de ce qu'il faudrait faire avec l'entreprise ByteDance.
M'enfin ça, ce serait dans un monde où le peuple souverain pourrait s'autodéterminer vis-à-vis des entreprises et des risques qu'elles trainent dans leur sillon capitalistique. Un monde qui a disparu en somme.
Au cours de l'été 1995, fidèles à ce qui est désormais une tradition, pensionnaires et soignants de la clinique psychiatrique de La Borde se rassemblent pour monter la pièce de théâtre qu'ils joueront le 15 août. Au fil des répétitions, le film retrace les hauts et les bas de cette aventure... Mais au-delà du théâtre il raconte la vie à La Borde, le temps qui passe, les petits riens, la solitude, la fatigue, les moments de gaieté, les rires, et l'attention profonde que chacun porte à l'autre...
Alors que le street art se monnaie dans les galeries d’art, dans les rues, les graffitis sont les cibles d’une lutte acharnée. Tous les ans, ce sont plusieurs milliards d’euros qui sont investis au niveau mondial dans des systèmes de sécurité, de nettoyage et de prévention. Graffeurs eux-mêmes, les auteurs ont ainsi vu leurs inscriptions disparaître de plus en plus rapidement. Leur regard s’est alors décalé : du graffiti, c’est sur son effacement qu’ils se sont penchés.
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dis
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Psycho-pass - Philippe Aigrain - Catherine Dufour