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"des ressources complémentaires dont un module d’autoformation vidéo du consultant Stéphane Koch décrit ci-dessous (avec les liens afférants) sur le paramétrage, la sécurisation du profil personnel ainsi que des tutoriels vidéo d’astuces et conseils sur l’utilisation du réseau social."
"A chaque fois que vous lancez une recherche sur Facebook, les termes de votre recherche sont enregistrés dans un historique d'activité. Si vous êtes le seul à pouvoir accéder à cet historique, il peut être intéressant d'y faire de temps en temps le ménage. "
"Qu'aurait écrit un soldat français lors de la première guerre mondiale si Facebook avait existé à son époque ? C'est à cette question un peu déroutante que le musée de la grande guerre de Meaux s'emploie à répondre. Pour l'établissement, c'est une manière originale pour les jeunes générations de découvrir l'histoire en suivant les péripéties d'un personnage fictif, Léon Vivien."
"leurs données
C’est une initiative courageuse. Nous espérons que cela fera prendre conscience du problème au grand public. Pour en savoir davantage, nous encourageons nos lecteurs à lire les détails publiés sur leur site, à regarder l’interview d’Alain Bazot sur BFMTV. Rejoignez leur mouvement en signant la pétition « Je garde la main sur mes données »."
"Stop. Ça suffit. Je regarde de plus en plus souvent mon Facebook avec la même consternation que devant un épisode des Musclés."
Vous avez créé un événement sur Facebook et vous souhaitez inviter en un clic tout vos amis : installez ce module complémentaire (il existe aussi pour Chrome...)
"Très bien écrit, l'ouvrage désenchante l'entreprise numérique. Mais pour bien le lire, le lire "juste", il faut, en même temps, comme dans une polyphonie, entendre trois autres voix qui donnent au texte sa richesse.
Tout d'abord garder à l'esprit la tendresse et le respect que l'auteur éprouve, malgré tout, pour cette entreprise et son fondateur, pour tout ce qu'elle-même y a appris et gagné. Jamais elle ne crache dans la soupe. La réussite extraordinaire de Facebook n'est pas mise en doute. Pas plus que n'est remise en question la révolution dans la communication que représente ce réseau social (et pas les autres).
La vie à Facebook est décrite avec sympathie, bénéfice d'un regard intérieur aiguisé par les cinq années qu'elle y a passées. C'était aussi la belle vie. L'auteur, à son tour, bénéficiera bientôt d'un travail exaltant, d'avantages en nature (voyages, hôtels luxueux, etc.). Et l'on peut tomber amoureux aussi, "aimer à peine", "mal délicieux"...
La lucidité de Katherine Losse s'exerce aussi à propos de l'université. Ne pas oublier, au long de notre voyage du lecteur au coeur de Facebook, le point de départ, l'expérience déprimante de l'université et, plus globalement, des Etats-Unis englués dans une crise nouvelle : Hopkins, la prestigieuse, est cernée par un environnement de chômage, de drogue et de violence ("the advanced state of America's postindustrial decay"). Désillusions après des études très chères (Johns Hopkins après Wesleyan University) et les discours de célébration élitistes, distillés lors du recrutement alors qu'à l'horizon se précisent le chômage et les petits boulots, les emprunts qu'il faut rembourser pendant des années... Le confort de Facebook est à rapprocher de ce contexte pour apprécier pleinement le discours mesuré de l'auteur."
D'où que l'on regarde, quand on parle du rapport des jeunes à l'Internet et aux réseaux sociaux, tout le monde évoque d'abord les risques, les dangers, les menaces qui pèsent sur eux. Des dangers qui justifient bien souvent toutes les dérives sécuritaires... Pourtant, les chercheurs dénoncent largement ce retournement, cette tentation anxiogène de l'hypercontrôle qui définitivement n'aidera ni les parents ni les jeunes à aborder et comprendre les formes des nouvelles sociabilités qui se développent en ligne.
"Un directeur d’un établissement social me disait récemment qu’il avait vu plusieurs jeunes aller sur Facebook pourtant incapables de joindre un fichier "
Merci les amis !
ou pas :(
Du titre à la conclusion, cet article dit tout des errements de la mouvance connectée... Comme ce qui apparaît évident à qui réfléchit 2 secondes devait être répété encore et encore.
Comme dirait l'autre, on a pas le cul sortit des ronces...
Dommage fromage :..(
Ambiance désastreuse pendant ce temps là, pouah !
"Pourtant, la Commission et les États membres, en 146 pages d'analyse d'impact, ne parviennent même pas à expliquer en quoi ces obligations pourraient réellement être efficaces dans la lutte contre le terrorisme."
"Ce projet de règlement est une véritable insulte au projet démocratique européen."
"Quand nous avons dit aux ministères que leur texte détruirait l'ensemble du Web décentralisé, ne laissant qu'une poignée de géants en maîtres, on nous a laissé comprendre que, oui, justement, c'était bien le but. "
""Sans aucune honte, le gouvernement s'est même permis de sortir l'argument du secret défense, complètement hors sujet, pour masquer son manque de preuve et afficher son irrespect de toute idée de débat démocratique. C'est comme ça : Google l'a dit, ne discutez pas.
"Exigeons le rejet de ce texte ! Il en va des conditions d'existence de l'Internet libre et décentralisé."
Seb Sauvage toujours à la pointe de l'information qui éclairé les tunnels.