If the Kids are United
L'iMac G5 est un ordinateur de la famille des tout-en-un iMac, lancé par Apple en septembre 2004. Dernier iMac supportant un processeur PowerPC, il sera remplacé par son successeur, l’iMac Intel, en janvier 2006 avant d’être retiré de la vente en mars 2006.
- Mais voilà, en 2013, j'avais installé une distribution Debian dessus. En 2O21, après deux heures de remise en condition, je change les adresses dans le fichier sources de s mise à jour, et hop ! En eséparant que la résolution graphique retombe sur ses pattes.
#Tux et debian were save my life ;))
Fan de bagarre, ce disque et ce groupe sont fait pour vous !
Quand je cherche à afficher la taille des dossiers les plus volumineux d'un windows quelconque puisque Microsoft a décidé de ne plus le faire...
OK, ça n'est pas libre mais c'est bien pratique ;)
TreeSize Free permet à l'utilisateur de connaître différents détails sur ses disques durs. Le logiciel affiche non seulement la taille de chaque unité de stockage, mais montre également le nombre de dossiers et de fichiers qu'il contient.
En pratique
Que ce soit à la maison, en EAJE (établissement d’accueil du jeune enfant) ou à l’école maternelle, ainsi qu’en pratique de soin, les outils numériques sont de plus en plus présents. Les usages se multiplient, ils sont pédagogiques, ludiques ou encore thérapeutiques.
Ça se complique
Si l’exposition de l’enfant de moins de 3 ans à la télévision semble avoir des effets néfastes
sur le développement socio-cognitif et langagier, les conclusions concernant les outils
numériques mobiles (tablettes, smartphones) sont encore incertaines.
Conférence d'Angie, chargée de relations publiques pour Framasoft, lors du festival Les nouveaux communs (2 décembre 2020).
après des attentes de plusieurs mois difficilement concevables en terme de charge administrative, "les remerciement de la République" pour leurs efforts depuis plusieurs années déjà (apprentissage de la langue française, travail régulier, contrat CDI de principe de plusieurs entreprises locales ou d'apprentissage, inscription de l'enfant à l'école élémentaire, etc.), à se conformer à leur Obligations de Quitter le Territoire Français. Avec confiscation de papiers d'identité par la préfecture pour l'un, obligation pour la famille de pointer quotidiennement à la gendarmerie [...]
Bravo. Merci pour elles et eux. #vomir
Pour décrire au plus juste « la façon dont la vie de Kabris s’est construite », Christophe Granger, historien et sociologue, entreprend d’étudier les modes de socialisation qui ont façonné ses destins successifs. Comment il a, pour chacun, adapté ses expériences passées aux attentes des nouveaux univers sociaux, si contradictoires soient-ils, qui s’ouvraient à lui.
- Philippe Pataud Célérier
Pensez à passer à LA Coursive dans le quartiers dijonnais des Grésilles pour rencontrer les agitateurs scientifiques. Et en savoir plus sur leurs actions.
AUX SCIENCES CITOYENneS !
« Tout est gris, ou noir, dans les pages impressionnantes de Baptiste Deyrail. (…) On naviguerait presque entre néo-réalisme et cinéma expressionniste allemand. Il en ressort une atmosphère souvent oppressante mais aussi pas mal de poésie, surtout dans les paysages de nuit. »
- Actuabd.com
À propos de cette image de Bernie Sanders devenue même-viral, emmitouflé jambe croisé et moufles près du corps.
Typique de la culture du web, l’humour involontaire de ce retour au réel faisant tache dans la cérémonie incarne la fonction critique du réseau, le dévoilement par la force du détail de la tricherie des apparences. L’amplification virale agit alors comme une caisse de résonance, selon la structure classique de la dénonciation des ridicules, et expose au grand jour la joyeuse déconstruction des faux-semblants. Que Bernie ait plus de succès que Lady Gaga, les mitaines que les drapeaux, le défaut que la cérémonie, interroge plus souterrainement la confiance vacillante des peuples dans leurs institutions.
- André Gunthert
Soul, R'N'B et HipHop du matin, c'est bien-bien !
En attendant que le monde rouvre les yeux sur l’importance indépassable de la présence, la visio va continuer à s’imposer. Tout comme Facebook ou Google, elle est appelée à devenir l’un des nouveaux ogres de nos télévies. Depuis Zoom, l’internet est en train de se « télévisionner » un peu plus.
Il y a bien sûr 3 autres volets à lire avant celui-là mais tous peuvent être lus dans le désir des ordres. Sans rien divulgâcher, c'est pas la joie.
Ce que "les pas de côté" bretons doivent apporter au désir de faire ensemble ici et maintenant.
Un parti pris qui en vaut bien d'autres et qui a le mérite de tout bien résumer tout haut ce que d'aucune et d'aucun pensent dans leur for intérieur...
30 janvier 2021 | Par Ellen Salvi
Divisé sur les mesures à prendre face à la recrudescence épidémique, l’exécutif sombre dans une communication erratique, qui peine à masquer ses contradictions.
L"’exécutif a cherché la bonne formule toute la semaine. Il a d’abord été question de « confinement très serré », puis de « confinement hybride ». Mais finalement, le problème résidait peut-être dans le mot même de « confinement ». Trop de mauvais souvenirs. Alors on a parlé de « prolongement des vacances scolaires », formulation jugée moins anxiogène. Les confidences anonymes ont envahi les colonnes des journaux, les ballons d’essai ont été envoyés tous azimuts, les divisions gouvernementales sur les mesures à prendre et les humeurs du président de la République contre « la pression des scientifiques » ont été étalées au grand jour.
Rythmée par les atermoiements rhétoriques des uns et les coups de com’ des autres, la semaine s’est finalement conclue vendredi soir par une prise de parole du premier ministre, organisée dans la précipitation à l’issue d’un Conseil de défense, lui-même convoqué à la dernière minute. À 20 h 30 passées, heure de la soupe sous couvre-feu, Jean Castex est apparu sur les écrans des chaînes d’info, à la surprise générale de son propre gouvernement, pour dérouler une série de nouvelles restrictions, et expliquer que « notre devoir est de tout mettre en œuvre pour éviter un prochain confinement ».
Le locataire de Matignon a ainsi annoncé, entre le fromage et le dessert, l’interdiction des déplacements en dehors de l’Union européenne, « sauf motif impérieux », et la fermeture, dès dimanche, des « centres commerciaux non alimentaires d’une surface supérieure à 20 000 m2 ». Il a également déclaré que le « recours effectif au télétravail devra être renforcé dans toutes les entreprises » et que « les policiers et les gendarmes seront mobilisés pour contrôler le non-respect du couvre-feu, l’organisation de fêtes clandestines et l’ouverture de restaurants, de manière renforcée ».
Emmanuel Macron en Conseil de défense, en novembre 2020. © Thibault Camus/Pool/AFP
Alors que résonnait au loin la rumeur du « tout ça pour ça », l’opposition a commencé à réagir à ces « annonces surprises » – qu’est-ce qu’on s’amuse : le chef de file de La France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon a déploré le « temps perdu » ; la présidente du Rassemblement national (RN) Marine Le Pen s’est félicitée de la fermeture des frontières ; le secrétaire national d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) Julien Bayou a estimé que le gouvernement choisissait « l’économie au lieu de la santé » ; et celui du Parti communiste français (PCF) Fabien Roussel a noté qu’il n’y avait « rien sur la campagne de vaccination et pas de sortie du tunnel en vue ».
Damien Abad, le patron des députés Les Républicains (LR), a quant à lui jugé « particulièrement dangereux de jouer sur la corde psychologique des Français en faisant monter la menace du confinement ces derniers jours pour finalement envoyer à la volée un premier ministre embarrassé faire des annonces mineures ». Car c’est bien là tout le problème : un an après le début de la pandémie, le pouvoir continue de jouer avec nos nerfs en faisant des coups politiques. Parfois pour cacher ses propres manquements. Le plus souvent parce qu’il ne sait rien faire d’autre.
La période est instable, le virus imprévisible, et la gestion de crise forcément évolutive. Il n’est pas question de prétendre le contraire. Mais convoquer un Conseil de défense en urgence, un vendredi soir, faire monter la sauce en rappelant à quelques journalistes que le procédé n’est pas commun, puis lâcher trois mesures en expliquant à d’autres qu’il ne s’agit que d’« un répit d’une semaine pour empêcher la fermeture des écoles »… Tout cela est en revanche inacceptable. Et nourrit largement la défiance et la morosité.
En milieu de semaine, face aux présidents de groupe du Sénat, Jean Castex a reconnu que « la complexité, c’est l’acceptabilité ». Mais comment faire accepter à des millions de personnes des décisions prises d’en haut, par un noyau resserré d’individus qui pourraient tenir dans une cabine téléphonique ? Comment permettre aux Français de s’approprier des mesures dont ils ne comprennent pas le sens ? Comment oser les taxer de « procureurs » quand aucune des questions qu’ils posent légitimement, depuis un an d’état d’urgence sanitaire, ne trouve de réponses ?
Dans les cabinets ministériels et jusqu’au sein du gouvernement, beaucoup ne savent toujours pas expliquer pourquoi les musées sont fermés, alors que les magasins restent ouverts. Pourquoi il est possible d’aller s’acheter une paire de baskets, mais pas d’aller visiter une exposition. Nul n’est capable, non plus, de savoir si un confinement très strict, sur une courte période, serait mieux accepté par la population que des mesures moins contraignantes, mais plus étalées dans le temps. Personne ne sait si d’autres alternatives sont possibles. Personne ne le sait, parce que personne n’en a débattu.
Les annonces de vendredi sont survenues après deux jours de « consultations » menées par l’exécutif avec les partis politiques, les associations d’élus, les syndicats, ainsi que des laboratoires ou encore des psychiatres. Le premier ministre avait aussi promis un débat et un vote – non contraignant – au Parlement, en cas de nouveau confinement. Mais, depuis un an, toutes les décisions sont prises dans le huis clos du Conseil de défense. Et toutes se discutent, si l’envie nous en prend, a posteriori. Le rôle des parlementaires s’est réduit comme peau de chagrin. Et les ministres qui ne sont pas directement concernés par la crise ont tout simplement disparu.
L’équilibre à l’œuvre depuis le début de la pandémie est de plus en plus précaire. Comme le soulignait récemment l’ancien président du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), Didier Sicard, dans Le Monde, « le dégât neuronal est immense, quand une société est privée de sociabilité, de culture, de plaisir » et « l’enfermement a des conséquences incalculables ». La ligne d’horizon recule en permanence. Le décision publique, dans un tel contexte, n’est pas seulement sanitaire : elle est profondément politique. Politique, mais pas politicienne.
Plutôt que de se soucier des critiques et de son image, de mettre en scène ses colères ou ses doutes, de distribuer les bons points aux enfants sages, de rabrouer ceux qui ne le sont pas, de faire des tweets-mantra – samedi, il a encore posté sur son compte : « J’ai confiance en nous. Les heures que nous vivons sont cruciales. Faisons tout pour freiner l’épidémie ensemble » – et de jouer avec le bouton de l’ascenseur émotionnel, Emmanuel Macron pourrait commencer par éclairer ses choix et partager sa prise de décision. Sans cynisme ni condescendance. Sans théâtralité. Et sans penser aussi fort à la présidentielle de 2022. Parce qu’on n’entend que ça."
"Cette réflexion ne peut être envisagée sans une écoute attentive des attentes des citoyens."
Pour une fois qu'on nous/vous demande notre/votre avis, il faut en profiter. Et avant de répondre, pensez à consulter En savoir plus sur la gestion de vos données et de vos droits.
Au terme du questionnaire qui n'est pas nominatif, vous aurez la possibilité de garder en PDF vos réponses aux questions.
Faîtes tourner !
"En 2017, Gulbahar Haitiwaji a été victime d'un piège machiavélique tissé par l'appareil sécuritaire chinois. Cette Ouïghoure basée en France a été contrainte de retourner dans sa région natale, le Xinjiang, où elle a connu l'enfer des camps d'internement. Un an et demi après sa libération, elle raconte son histoire dans un livre, "Rescapée du Goulag chinois", co-écrit avec Rozenn Morgat et qui paraît ce mardi 12 janvier 2021aux Éditions des Équateurs."
J’ai appris par la suite que le Quai d’Orsay avait créé un dossier pour mon cas et agi comme si j’étais une Française. Mon sort aurait été évoqué à chaque rencontre entre des officiels français et chinois, mais je n’en sais pas beaucoup plus. Au Xinjiang, on m’a juste dit que mes crimes n’étaient pas suffisants pour être condamnée et que je devais remercier le Parti communiste pour sa bienveillance. Avant cela, dès le mois de mars, j’avais été placée dans une résidence surveillée par 11 policiers et subi une vraie cure de remise en forme pour reprendre les 15 kilos que j’avais perdu en détention.
Ah ah ah j'adore - le samedi c'est parodie !
"Mozinor ne saurait être tenu pour responsable des propos tenus par les personnages de ses détournements (ça serait absurde, comme reprocher a un marionettiste les propos que tiennent sa marionette)."
"Aucun humain n’est capable de comprendre ce qu’il se passe derrière les écrans : chaque jour, 82,2 ans de vidéo sont téléchargés sur YouTube ; 500 millions de tweets sont échangés, l’équivalent d’un livre de 10 millions de pages ! En 2014 déjà, l’écrivain a passé une semaine sur un porte-conteneur… Et ce qui l’a le plus frappé, c’était de constater combien chaque décision était prise par la technologie. Du grutier au capitaine, chacun recevait des instructions via des algorithmes de gestion, acceptés et respectés sans conteste par des professionnels compétents, quand bien même ces décisions ne se motivaient d’aucune explication. Ainsi, explique-t-il, le capitaine du bateau recevait régulièrement des courriels automatisés lui demandant de ralentir le navire, sans que la compagnie maritime lui en explique la raison. Comme si nous avions déjà lâché prise sur la motivation des décisions et l’explicabilité du monde…"
"Qu’importe, tant qu’il y a de la nourriture et des vêtements dans les magasins, de l’argent dans les distributeurs, des histoires sur notre Instagram…"
"Tout semble désormais se faire tout seul, sans avoir besoin de s’en inquiéter ! Pourtant, ces systèmes complexes peuvent tomber en panne. 2020 par exemple, a permis de constater combien les chaînes d’approvisionnement pouvaient être sous pression, entraînant leurs lots de pénuries."