Je ne vais pas avoir besoin de cet outil demain au réveil mais le prendre en main me paraît une riche idée.
Pourtant concevoir une vidéo pédagogique, ça ne parait pas à la portée de tous. Le matériel, les logiciels de montage, la mise en ligne paraissent souvent rédhibitoires. Comme souvent, c’est sans compter sur Internet : Des enseignants, informaticiens et spécialistes de la vidéo, passionnés (Merci, Thomas Forgione, Nicolas Bertrand, Axel Carlier et Vincent Charvillat) ont développé un outil génial (Si, si !) : Polymny. Ce studio d’enregistrement, de montage et de diffusion ultra facilitant en ligne est de plus totalement open source.
L'analogie avec l'anglais est délicieuse.
Depuis des années, tout cela se déroule dans une ambiance de faux engouement et d’autocensure. L’employée du Pôle emploi, de la CAF ou des impôts déteste probablement autant que vous cette nouvelle norme qui détruit son travail. Mais ni elle, ni ses collègues, ni son syndicat n’ont émis la moindre critique en public, de peur de passer pour des anglophobes réactionnaires fermés au reste du monde.
Possibilité de rechercher un mot une expression par les touches CTRL+f ^^
Note de lecture :
Mais être acteur de la société [...] suppose de s’approprier un nouvel environnement et de maîtriser une nouvelle grammaire. Et d’être capable d’apprendre à apprendre dans un environnement mouvant.
D’une certaine manière, nous sommes toutes et tous des illettrés du numérique. On peut être à la fois inclus ou exclus selon les usages, ou selon les périodes de notre vie. On pense souvent que le phénomène ne touche que les personnes âgées, les non-diplômés ou les chômeurs, mais il y a beaucoup d’angles morts à l'illettrisme numérique. Cela touche également de nombreux salariés dans leurs usages professionnels courants, et de nombreux jeunes dans leurs démarches administratives.
[...] en réalité, nous sommes 66 millions de Français plus ou moins à l’aise avec ces outils, services, machines et environnements qui évoluent en permanence.
D’après l’INSEE, un Français sur deux ressent un manque de maîtrise sur deux des quatre compétences numériques de base (à savoir : la recherche d’information, la communication, la résolution de problèmes et l’usage de logiciels). Ça fait déjà 18 millions de personnes.
On n’attire pas quelqu’un vers le numérique en lui disant qu’on va l’aider à faire une démarche administrative, ça ne marche pas. On se penche plutôt sur la manière dont l’outil va lui apporter quelque chose dans sa situation [...]
Si le pain point (là où ça fait mal !), c’est de ne pas réussir à extraire des informations sur ameli.fr, le levier sera sûrement ailleurs : savoir maîtriser l’ENT (Espace Numérique de Travail) de son enfant par exemple, ou ouvrir le dialogue avec un adolescent sur son rapport au numérique.
il y a toujours eu une croyance selon laquelle le numérique allait arriver, se diffuser partout de manière égalitaire et que tout irait bien. Même au plus haut niveau - institutionnel comme économique - on pensait qu’il n’était pas nécessaire de travailler l’accompagnement, la formation, l’aménagement, etc.
Leur / [NOTRE] mission : accompagner l’autonomisation et l’émancipation numérique.
L’un des principaux leviers pour rendre le numérique plus durable, c’est d’allonger la durée de vie des équipements. Or c’est aussi une manière d’équiper celles et ceux dont les moyens financiers sont limités.
« Quand on organise une soirée, on veut rendre les gens heureux le temps d’une nuit. Mais si la musique ou les rencontres humaines permettent de prolonger encore un peu plus ce bonheur, c’est encore mieux. C’est vraiment pour ça qu’on a fait ce club. Certainement pas pour gagner de l’argent car on n’a pas gagné grand-chose dans l’histoire. Mais au moins, on a rendu les gens heureux »
Un pari réussi qui aujourd’hui encore laisse des souvenirs indélébiles dont on ne parvient pas à se défaire. À l’image de ces vieux morceaux de carrelage rouge et noir que certains gardent encore précieusement chez eux comme un trésor. Pour ne jamais oublier ce qui s’est passé dans les nuits de l’An-Fer.
Notes d'une lecture que j'ai trouvé pertinente.
Une bonne gestion c’est une gestion auto-gérée, tout en étant supervisée par une équipe pluridisciplinaire qui soit orchestrée par, au moins, un géographe.
Co-créons et développons des « Club-Nature/tiers-lieux » privés/publics partout sur nos territoires, des lieux d’échanges artistiques, festifs, sportifs, techniques, scientifiques, politiques et écologiques.
Valeurs : L’art et la science sont des gages d’épanouissement individuel et collectif.
Les Hauts de France, malheureusement, toujours une longueur d'avance.
Le nouvel hémicycle régional sera unanime sur l’essentiel : le seul horizon possible des plaines de l’Aisne aux côtes de la Mer du nord, c’est celui de la zone industrielle.
Le développement des nouvelles technologies et l’utilisation qu’en fait le régime de Pékin sont depuis quelques années au cœur des informations qui nous arrivent de Chine. Deux anciens correspondants de presse, l’Allemand Kai Strittmatter et l’Italien Simone Pieranni, dressent séparément un état des lieux du numérique en Chine et analysent ses conséquences nationales et internationales.
la grosse bête humaine
Alain Michel à encore frappé. Si besoin de plonger et rechercher dans Twitter, voilà un début de panacée.
Je garde ça pour voir si les prédictions de Sebsauvage se réaliseront...
Montrer ce documentaire avant ses 15 ans à sa fille ? Ça me semble souhaitable non ?
En voilà une saine question.
« Ce n’est pas seulement que l’enseignement de l’ingénierie apprend aux étudiants à penser que tous les problèmes méritent des solutions techniques (ce qui est certainement le cas) ; le programme est surtout construit autour de tout un système de valeurs qui ne connaît que les fonctions d’utilité, les manipulations symboliques et la maximisation des objectifs. »
De la critique qui fait avancer. J'ai beaucoup accroché sur ce récit. La forme comme ne fond m'ont emporté. Je prête volontiers mon exemplaire reçu en don d'une amie librairie.
Voilà pour commencer :
Ce n’est pas au numérique en tant que tel ni à la nouveauté technologique qu’ils sont sensibles, mais à l’activité qu’on leur propose de faire avec.
AÎe, Snapchat a raflé de la part de marché ? :
Avec l’entrée du numérique scolaire dans l’enceinte familiale, les parents les plus attentifs sur le sujet nous disent avoir dû lâcher du lest dans le contrôle de ce que faisait leur enfant sur l’ordinateur ou la tablette. Pour les jeunes, l’école est d’ailleurs parfois devenue un alibi, une stratégie pour convaincre les parents de les laisser utiliser Internet ( « je fais cela pour l’école ») et retrouver cet espace-temps à eux.
Alors oui, ils font ça, mais qui leur en voudrait, personne ne leur a jamais enseigné les bases :
Certains jeunes finissaient d’ailleurs par prendre en photo leur travail pour l’envoyer ainsi, une « compétence » acquise par l’expérience à travers leur utilisation des réseaux sociaux…
WOUAH ! je manque de choir ;
L’utilisation éducative du numérique nécessite donc une formation des élèves.
Le gars est plus connu sous le nom de DJ /Rupture et pas facile de trouver plus virtuose en breacore hip-hop ragga & consort. Mais Varèse n'est pas loin non plus !
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Possible de "download over 9 hours of DJ /rupture mixes" ici >>> https://www.negrophonic.com/dj-rupture-mixes-free-download/
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Là aussi, une playlist sur un média récent. Lui au moins utilise Bandcamp pour sourcer.
Relire 1984 et le concept de guerre permanente.
Prenez vraiment le temps de découvrir cette touchante histoire.
Cette histoire, la voilà : Les humains avaient peur des petites filles, parce que les petites filles avaient des pouvoirs magiques. »
Comment ça personne ne vous entend crier ?
🤘
Live recommandé par l'article :
https://toutelaculture.com/musique/pop-rock/motorhead-louder-than-noise-live-in-berlin-un-concert-historique/
Quelle bonne idée. Et une piste pour un atelier en EPN / Bibliothèque. Et pour la maison. Et pour le musée.
Par tous et pour tous !