Belle dé-monstr-ation !
La machine démontre des lectures et connaissances approfondies sur des sujets immenses. Une parfaite maîtrise sémantique : justesse du vocabulaire, ordre d’apparition des idées, situations sémantiques variées (dialogues, articles, démonstrations étayées plus ou moins longues, on peut lui demander une réponse en x mots ou caractères, écriture de chansons…). Elle produit en plusieurs langues. De manière extrêmement rapide, ces réponses surgissant du tac au tac.
À la une de tous les médias, le chatbot d’OpenAI n’aura pas manqué de capter l’attention des élèves, des étudiants et du corps enseignant. Indétectable par les logiciels anti-plagiat connus, il ne génère pas des extraits aspirés du Web, mais fait ses propres associations de mots et d’idées d’après des calculs de probabilités.
Ami.e.s de la création, que la force et la sémantique demeure!
Et donc, si vous voulez vous forger une idée sur chatGPT, commencez à l’utiliser pour en découvrir les forces et les faiblesses. Tirez parti des premières et soyez indulgents pour les secondes ; regardez-le évoluer, comme pour la traduction automatique. En bref, ignorez les professeurs de morale et les experts trop sûrs d’eux-mêmes et jouez avec. Amusez-vous bien !
J'ai donc commencé à m'amuser avec ce chatGPT et son pendant "image", Dall-E, depuis le site https://chat.openai.com/ et ça donne une entrée sur des champs des possibles que je ne soupçonnais pas.
ce qui motive l’automatisation, c’est précisément de ne plus avoir à s’en occuper.
Toujours aussi pertinent ce Jean-Noel Lafargue.
Très rassurant d'entendre dire que le rire sera probablement le dernier traits humains qui pourra être numérisé, mécanisé. En tout cas, épatante découverte que cette facette méconnue de l'artiste Daniel Goosens.
"C’est tout l’intérêt du livre du journaliste allemand Kai Strittmatter, Dictature 2.0, quand la Chine surveille son peuple (et demain le monde) (Taillandier, 2020), que de porter un regard bien plus large sur l’état de la surveillance en Chine. En s’intéressant aux discours, aux lois comme aux actes du gouvernement chinois, le correspondant à Pékin du Süddeutsche Zeitung dresse un constat bien plus glaçant sur la néo-dictature technologique chinoise."
AU SECOURS !!! ALERTEZ-LES BÉBÉS !!!
Vraiment, ce dimanche, VOTEZ ! Et lisez cet article qui devrait vous convaincre : des humains à contrôler valent mieux que des machines incontrôlables non ?
Déferlement de titres autour de l'IA...
L'IA, ça va, ça vient, mais si vraiment elle advient, sauve qui peut mes pingouins.
Très moyen les attermoiements des uns. Pas mal le courage de certain à dire non. Mais dans l'ensemble, les 5 années qui viennent vont être déterminantes pour les fans de Terminator....................................................................................., .....................................................nan pardon, pour nous, les Humains.
"La technologie de l’IA étant souvent utilisée de façon abusive pour aller contre les libertés des humains (par exemple, son utilisateur par les forces de l’ordre dans plusieurs pays), Microsoft s’est joint à un appel à la réglementation, en juillet dernier, pour limiter l'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale, en exhortant le Congrès à étudier la technologie et à superviser son utilisation. Dans une autre intervention, le président de Microsoft a déclaré que sans la réglementation de la technologie de reconnaissance faciale, 2024 pourrait ressembler au roman « 1984 »."
Ouch, ça pose le décor presque autant que les élections US.
"Un pas de plus vers la théorie que l'on appelle La singularité technologique (ou simplement la singularité), concept selon lequel, à partir d'un moment précis (cette expérience?) de son évolution technologique, la civilisation humaine finira par faire l'expérience d'une croissance technologique d'un tout autre ordre et dont l'enjeu principal sera l'intelligence artificielle. "
"Dès lors, le risque évident serait la perte de pouvoir humain, politique, sur la destinée humaine."
"Comme ces initiatives sont aujourd'hui menés par des multi-nationales, voilà de quoi rassurer le chaland. Certains chercheurs ont créé un « club » destiné à regrouper les avancées dans ce domaine et réfléchir aux risques potentiels de leurs découvertes. Ce club, nommé Partnership, regroupe cinq acteurs majeurs du web puisqu’il s’agit curieusement de représentants d'Amazon, Google, Facebook, IBM et Microsoft. Ouf ?"