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Plus largement, jamais autant de Français n’ont dû se priver. Début 2022, 9 millions de personnes étaient en situation de privation matérielle et sociale, selon l’Insee. Soit 14 % des Français, un record depuis que l’on mesure cette statistique. Malheureusement, cette contre-performance a toutes les chances d’être égalée, voire dépassée, en 2023 et 2024…
- Devoir se priver, cela veut dire ne pas pouvoir chauffer son logement à la bonne température, renoncer à s’acheter des vêtements neufs, ne pas accéder à Internet ou éviter de se réunir avec des amis autour d’un verre ou d’un repas au moins une fois par mois.
Fabien Ollier, dirigeant de la revue Quel sport ?, distingue activité physique libre du sport.
Le sport est défini ainsi par le Conseil d’État :
« Système institutionnalisé de pratiques compétitives à dominante physique réglementées universellement qui a pour finalité l’émergence du champion, du record, de l’exploit grâce à la mesure normalisée, à la comparaison permanente et à la confrontation mondialisée des individus. »
À chacun son style pour harceler les harceleurs, menons des actions coordonnées partout où c’est possible !
« Une société toujours plus malade, mais toujours plus puissante, a recréé partout concrètement le monde comme environnement et décor de sa maladie, en tant que planète malade. Une société qui n’est pas encore devenue homogène et qui n’est pas déterminée par elle-même, mais toujours plus par une partie d’elle-même qui se place au-dessus d’elle, qui lui est extérieure, a développé un mouvement de domination de la nature qui ne s’est pas dominé lui-même. »
«Toutes les raisons de faire une révolution sont là. Il n’en manque aucune. Le naufrage de la politique, l’arrogance des puissants, le règne du faux, la vulgarité des riches, les cataclysmes de l’industrie, la misère galopante, l’exploitation nue, l’apocalypse écologique – rien ne nous est épargné, pas même d’en être informés. Toutes les raisons sont réunies, mais ce ne sont pas les raisons qui font les révolutions, ce sont les corps. Et les corps sont devant les écrans.»
Le comité invisible
[7] L’usage de drogues par les soldats est bien connu ; il existe toute une psychiatrie militaire, qui, dans ses cas limites, n’est pas si différente de notre psychiatrie axée sur le monde du travail. Certains journaux ont rapporté que, pour mener l’attaque, les soldats du Hamas étaient également sous l’influence de drogues (de captagon, une sorte d’amphétamine).
Ça tient la route. À lire en réécoutant le disque.
Voilà. Ça c'est la pays d'où je suis résident. Pouah
"L’accent est ici mis avant tout sur des relations d’entraide et de compagnonnage (entre autres de pair-à-pair et par le biais de nombreux accueils d’artistes en résidence)."
C'est tout nous ça.
Tiny thoughts & large strides, wowowow d;-)
Et bim, une bonne mise à jour sur la question.
Dans cet épisode, Laura interroge le bien-fondé de l’expression “on n’arrête pas le progrès”. Est-ce si évident ? Pourquoi les nouvelles techniques, à l’instar de la 5G, sont-elles souvent contestées ? Le progrès est-il toujours désirable, quelles que soient ses implications sociales, ou environnementales ? François Jarrige, historien des sciences à l’Université de Bourgogne, explique que les innovations techniques ont souvent rencontré des oppositions et qu’aucune n’est inéluctable.
Il critique notamment l’idéologie “technosolutionniste”, selon laquelle l’innovation technologique pourrait résoudre tous les problèmes écologiques, sociaux, culturels et politiques. “L’idée ce n’est pas d’être pour ou contre la technique, c’est d’inventer d’autres systèmes techniques dans d’autres contextes sociaux et démocratiques,” résume-t-il.
Avec également Emmanuel Umpala, directeur de l’Observatoire africain des ressources naturelles.
Les références citées dans l’épisode (dans leur ordre de citation) : François Jarrige, Technocritiques, Du refus des machines à la contestation des technosciences, La Découverte, 2014,
Evgeny Morozov, Pour tout résoudre, Cliquez ici, L'aberration du solutionnisme technologique, FYP Editions, 2014
Relevé par Lundi Matin : https://lundi.am/L-equipe-de-France-contre-la-Coupe-du-Monde-de-football
Écrire « human rights » sur nos maillots, ou mettre un genou à terre face aux oppressions ne suffit plus. Ces gestes sont peut-être forts symboliquement, mais ils sont facilement récupérables par les puissants qui en profitent pour redorer leur blason. Nous n’irons pas à cette Coupe du monde. Nous espérons que notre acte provoquera des émules dans d’autres équipes, ainsi que chez les supporters.
Un peu de fierté retrouvée !
À SUIVRE
On a parfois peur de créer un monstre, une vitrine écologique pour les métropoles. On a peur qu’un outil stratégique, la ZEC, devienne une réalité politique confortable qui nous distancie des luttes d’ailleurs. On a aussi peur de ne plus s’adresser qu’à des élites et de s’éloigner de nos camarades de toujours, de tomber amoureu·ses du pouvoir que nous donne le regard bienveillant des intellectuel· les qui nous soutiennent et de se rêver politicien·nes.
La vérité, c’est que « la France de Macron » n’est qu’une petite chose racornie, quoique persuadée de porter beau : c’est la classe nuisible.
Ce verbe, superbe, comme un cliché de photo-reporter !
Car il est bien clair qu’il n’y a plus que la rue. Si « crise » désigne le moment résolutoire où les trajectoires bifurquent, nous y sommes. Quand tout est verrouillé et que la pression n’en finit pas de monter, il doit se passer quelque chose. Ce dont les forces instituées sont incapables, seul l’événement peut l’accomplir.
Intéressant de relire cet article en pensant au mouvement des gilets jaunes qui advient peu de temps après.
Qu'en sera-t-il de cette (non)élection de 2022 ? Et qu'adviendra-t-il après coup ?
Après s'être intéressée à des traditions aussi particulières que le fameux Jour des morts, typique de la culture mexicaine, ses efforts picturaux semblent dorénavant se focaliser sur l'absurdité de notre XXIe siècle hypermédiatique, sur sa vulgarité et sa folie normative. Un univers de câbles et de rouages dans lequel notre humanité achève de s'effondrer, engloutie sous la pression des algorithmes et de la spéculation.
Ses dessins sont vraiment saisissant pour ce qu'ils présentent d'excès. Mais encore une fois, la messagère n'y est pour rien si c'est violent, dur ou... excessif. C'est bien de la réalité vécu par une majorité de l'humanité dont mette en lumière les dessins de cette artiste.
Sa série de collages “Femme-Maison”, questionne l’image de la femme contemporaine, forte, libre et autonome, capable de porter sa propre architecture sur soi… sa maison.
« Une chose est sûre : Macron n’est pas vacciné contre la déconnexion. Il vit dans un monde parallèle », a renchéri le candidat PCF Fabien Roussel.
“La stratégie du gouvernement n’est pas de numériser pour numériser et remplir le top 250. Nous mettons toujours la quantité et la qualité en face-à-face”, a insisté plusieurs fois la ministre, tout en rappelant les plans de déploiement de 4 000 conseillers numériques, ainsi que l’ouverture de maisons France Services dans chaque canton du pays.