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Les habitants des quartiers investis par les troupes israéliennes sont soumis à des campagnes d’arrestation de masse. Ceux qui ont été libérés affirment que les coups, les brimades et les traitements dégradants sont la règle.
«Toutes les raisons de faire une révolution sont là. Il n’en manque aucune. Le naufrage de la politique, l’arrogance des puissants, le règne du faux, la vulgarité des riches, les cataclysmes de l’industrie, la misère galopante, l’exploitation nue, l’apocalypse écologique – rien ne nous est épargné, pas même d’en être informés. Toutes les raisons sont réunies, mais ce ne sont pas les raisons qui font les révolutions, ce sont les corps. Et les corps sont devant les écrans.»
Le comité invisible
Par Maud Barret Bertelloni - Philosophe
Pourquoi les Jeux Olympiques sont-ils devenus une force économique avant d’être un événement sportif ? Ancien athlète, le politiste Jules Boykoff montre que des processus d’accumulation du capital considérables se mettent en place dès lors qu’une ville organise des Jeux Olympiques de grande ampleur. Leur coût est systématiquement sous-évalué, l’espace public est militarisé, les équilibres sociaux déstabilisés, et les écosystèmes menacés. Pourquoi les villes continuent-elles alors de les organiser ?
Les 4 tomes ont l'air passionnants.
Quotas migratoires, durcissement du regroupement familial, de l'accès à la nationalité française et à certaines allocations, régularisation exceptionnelle des travailleurs sans papiers dans certains métiers, délit de séjour irrégulier rétabli, éloignement facilité en cas d'infractions graves...Que contient le projet de loi sur l'immigration ?
Qu'est ce que tu comprends pas dans NON ?
Handicap et politique
La première grande difficulté de la #critique_radicale est de trouver un sujet capable de rétablir ladite distance, c’est-à-dire capable de penser, car les communautés de combat nées des conflits ne sont presque jamais assez fortes et stables. Elles ne sont guère enclines au débat avec une volonté de conclure. La présence des #classes_moyennes les transforme en « communautés de carnaval » ou en « communautés garde-robes », selon l’expression de Zygmunt Bauman, c’est-à-dire en masses réunies dans des spectacles sans intérêts communs mais partageant une illusion de courte durée, une identité momentanée, politique ou sociale, qui sert à canaliser la tension accumulée lors des journées routinières.
Je suis né en 1992 dans un couple malheureux.
Ma mère est secrétaire de mairie, et mon père, qui pense qu’il est trop bien pour travailler, la laisse l’entretenir.
Nous vivons en Dordogne, dans une grande maison en pierre en mauvais état, qu’ils ont achetée quand je devais avoir 5 ans. Isolée à la campagne, cette maison est grande, froide et effrayante. Comme mon père et son regard.
Waouh 10 ans... Et il n'est pas dans ma bibliothèque ? Va falloir remédier à ce manque
le dessinateur Mohammad Sabaaneh livre avec Je ne partirai pas un récit graphique impressionnant sur la Cisjordanie et la bande de Gaza explorées par un volatile bavard.
Utilisant le noir et blanc et la technique de la linogravure, qui est une forme d’impression en relief favorisant les contrastes, Sabaaneh se situe dans la lignée des illustrateurs expressionnistes du début du XXe siècle, en particulier du Belge Frans Masereel.
À propos de l'album Rouge Sang
On y trouve également une intéressante note sur les complexes relations entre le Vietnam, l’Ukraine et la Russie, due au scénariste Benoît de Tréglodé, lui-même directeur de recherche à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM). Le graphisme assez particulier de Roman Gigou, avec ses couleurs violentes, peut déconcerter. Mais il colle bien avec l’atmosphère angoissante des nuits de Hanoï telles que présentées dans le récit.
Nous, policiers et gendarmes, participons à la #criminalisation des #classes_populaires. Les collègues ne cachent pas leur #xénophobie. Je pense toujours qu’il ne faut pas laisser ces métiers à des gens de droite. Mais j’ai envie de rejoindre la lutte face à ce système profondément injuste. Passer de l’autre côté de la barricade, comme diraient certains.
" Prendre soin de soi est un savoir faire dont la valeur et l′efficacité se mesurent au quotidien. " Héritée des Grecs, puis remise à l′ordre du jour par des philosophes comme Pierre Hadot (1922-2010) et Michel Foucault (1926-1984), l′idée que tout être humain ait à prendre soin de lui-même trouve un écho dans les préoccupations contemporaines relatives au bien-être et à la santé. Mais que signifie " prendre soin de soi " ? Est-ce retrouver le calme, se sentir en sécurité, redécouvrir son corps, développer sa créativité ou renouer avec le sacré ? L′attention bienveillante que l′on se porte ne cache-t-elle pas une forme d′égoïsme, voire de narcissisme ? Françoise Bonardel porte un regard critique sur cette nouvelle religion du bien-être et donne une assise philosophique et psychologique à ce besoin de " soin ". L′auteur interroge également la dimension spirituelle du souci de soi : pour les mystiques, le soin que chaque individu se doit à lui-même engage un processus de transformation et de maturation lui permettant de s′ouvrir à la splendeur du grand Soi.
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Les arbres et les champignons ont créé le plus grand réseau au monde, ce chercheur explique pourquoi
"Une bonne partie du livre est consacrée à ce peuple souterrain. L'essentiel du monde des champignons est invisible à l’Homme. C'est un réseau de filaments qui s’insinue sous les feuilles, qui se déroule dans l'humus et le sol et qui connecte les arbres les uns aux autres."
Alors que le street art se monnaie dans les galeries d’art, dans les rues, les graffitis sont les cibles d’une lutte acharnée. Tous les ans, ce sont plusieurs milliards d’euros qui sont investis au niveau mondial dans des systèmes de sécurité, de nettoyage et de prévention. Graffeurs eux-mêmes, les auteurs ont ainsi vu leurs inscriptions disparaître de plus en plus rapidement. Leur regard s’est alors décalé : du graffiti, c’est sur son effacement qu’ils se sont penchés.
WoW WoW WoW !!!