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Premier long métrage de Georges Lucas produit par FF Coppola cité dans ma lecture du moment [Le logiciel qui murmure à l'oreille des prolos. Sombre guidage vocal dans les entrepôts de la grande distribution, par David Gaborieau].
"Le pouvoir semble détenu par une sorte de caste qui dispose d'une force de renseignement et de répression terrible. Les dirigeants ont accès aux conversations des gens, ils peuvent les voir et les entendre à l'aide de caméras. Ils ont même un contrôle mental sur la population (...)"
Et à Dijon l'Eldorado nous a encouragé à découvrir le cinéma autrement. À le défendre. À promouvoir la version originale...
"Années 1970 : l’exploitation cinématographique française se meurt. Après avoir connu des heures de gloire entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et le début des années 1960 (la France enregistre..."
"Vont-ils entrer en lutte contre la peur du lendemain que la société actuelle promet comme seul modèle ? Il est en tout cas plus que jamais nécessaire de « lutter contre les évolutions dévastatrices de la société » et de « continuer à cultiver l’alternative »."
Une femme à la caméra. Son mari qui créé avec les survivants des hôpitaux. Et des naissances, mais beaucoup trop de morts. Alep est ravagé.
Moi spectateur suis dévasté.
Des souvenirs de ce documentaire, évidemment.
Effroyable guerre faite aux humains. Aux gens. À NOUS. Cette indicible indifférence en Syrie a été filmé. J'en frissonne encore.
Fallait-il que notre fille de 12 ans voit ces atrocités ? Devait-on lui proposer de venir VOIR ? Mais oui, puisqu' elle n'a pas tant été choqué par les petits corps d'enfants décharnés ou les "gisants" des hopitaux que par le hors champs : celui on l'on doit se convaincre que l'Homme est bien son propre prédateur. Avec ces chefs de guerre qui règlent leur compte sur le dos des populations.
Prochaine étape : lui présenter Les chemins de la gloire de Stanley Kubrick, histoire de voir ce "hors-champs".
Il me semble ne pas avoir raté le début malgré nos jeunes années à danser à l'An-Fer. Si tu me lis, toi même tu sais !
"Si vous avez manqué le début:
En 1994, le gouvernement britannique a annoncé un projet de loi de justice pénale et d’ordre public. Elle interdisait les rassemblements sans permission au cours desquels de la musique amplifiée était jouée ... totalement ou principalement caractérisée par l'émission d'une succession de beats répétitifs."
Synopsis
"Le film relate la vie du jeune et énigmatique chanteur, qui fut à l'origine d'un nouveau genre musical, hors de la scène punk britannique des années 1970, et du groupe Joy Division, dont il sera la figure emblématique de 1977 à 1980. Il traite également de son mariage précoce et de sa vie extra-conjugale, mais aussi de ses crises d'épilepsie de plus en plus fréquentes, qui, selon le film, ont contribué aux circonstances qui le pousseront au suicide, la veille de la tournée du groupe aux États-Unis."
Déjà vu mais très envie de m'y replonger...
Synopsis
"Un jeune étudiant amène sa famille, ses amis, et les enseignants de son école, à se remettre en question en utilisant les enseignements de la Bible."
Certainement pas facile à trouver, si quelqu'un me lit et à une piste, david@davidaime.org !!!
Synopsis
"Le sujet du film est constitué par des éléments peu connus de la biographie de Viktor Tsoi et se déroule l'été 1981 à Leningrad. La trame de l'intrigue est la rencontre et la relation du jeune Tsoi , âgé de dix-neuf ans, de Mike Naoumenko (du groupe Zoopark), qui a vingt-six ans, et de Natalia Naoumenko, l'épouse de Mike. Il raconte aussi la création de la salle de concert Leningrad Rock Club et l'enregistrement du premier album du groupe Kino intitulé 45."
Je découvre ce metteur en scène assigné à résidence jusqu'en avril 2019 par ... la justice (indépendante bien sûr) de son pays.
Il a en plus du théâtre réalisé des films de cinéma. Fiche à suivre...
Mais ses dires me font réagir sur nous mêmes, tout aussi esclaves que ses personnages :
"Selon Serebrennikov la Russie se comporte comme une mendiante qui est devenue folle et ceux qui décident au pouvoir sont effrayés ; ne veulent rien savoir et décident[56]. En 2015 le contenu de la télévision russe a été décrit comme du mensonge et de la propagande et traduit l'opinion suivant laquelle le pays vit dans une réalité télévisuelle et croit aveuglément à cette réalité".
Mais pourquoi juste en Russie. La France à dressé sa population depuis 50 ans et plus de cette manière non ?
""Délivraison à domicile"" <<< bon sous titre ;)
Ah Ah Ah ! Monstre boutonneux et disruptif, sors de ce corps.
Il est absolument incompréhensible que la présentation de Pina, Dance, dance, otherwise we are lost, le nouveau film de Wim Wenders à la Berlinale le 13 février dernier n’ait pas été salué comme un événement majeur, et l’incontestable sommet de ce Festival. D’abord parce qu’il s’agit d’un film magnifique et bouleversant, le plus beau réalisé par Wim Wenders depuis très longtemps.
Sur les 200 nominés aux oscars 2011, il y en a peut-être un que l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences (qui organise et contrôle l'attribution des distinctions) préfèrerait ne pas accueillir au Kodak Theater, le 17 février. Il s'agit de Banksy, l'artiste grapheur britannique mondialement connu pour ses oeuvres sur le mur qui sépare la Palestine d'Israel et pour ses installations décalées dans les grands musées.
Pour parfaire ma culture vinyl j'ai regardé : http://videos.arte.tv/fr/videos/vinylmania-4234866.html
VINYLMANIA <<<<<<<<<<<<<
Mais ça ne dure que 7 jours sur Arte...
"Pour ses 50 ans de cinéma, portrait de Bernadette Lafont par André S. Labarthe. 2007. 50'"
Ma fille de douze ans me demande pourquoi n'a t'elle pas le "droit" de voir ce film, marqué d'une interdiction en salle ax moins de douze ?
Peut être parce qu'enfin oeuvre de cinéma remet chaque chose à sa place. Les enfants n'ont pas à fréquenter les super-vilains. Surtout quand ils sont aussi bien incarnés. Et comme le dit ci-dessous le journaliste de Le Monde Moderne, "d’autant que l’empathie envers un Arthur Fleck torturé est quasi-constante", alors va expliciter pareil sentiment-concept à ta fille que tu aimes, et qui te semble équilibrée ?
"Certes, il est possible d’interpréter cette œuvre cinématographique comme une tentative d’humanisation d’un criminel démentiel, d’autant que l’empathie envers un Arthur Fleck torturé est quasi-constante, mais la volonté était davantage de dénoncer le cynisme injurieux des puissants qui met de côté ceux « qui ne sont rien », ceux qui brillent par leur altérité, ceux pour qui le manque de reconnaissance sociale est un fardeau de tous les jours. Ainsi, le protagoniste fait disparaître l’homme tourmenté et en manque d’identité qu’est Arthur et laisse place au Joker : le symbole d’une révolte sociale contre l’impunité des puissants."
Un film d’animation d’une rare originalité, à la fois éloge du mouvement et de la sensualité.
Un film catastrophe eastwoodien, formellement impeccable, qui ne réconciliera pas le metteur en scène avec ses détracteurs.
Le film d'Alain Tanner est un chef-d'œuvre d'humour, de révolte et d'humanisme visionnaire.
L'histoire est inspirée de faits réels.
Et je me demande si ce film va trouver un distributeur au pays des tas d'urgence.
Upton Sainclair et campagne du siècle ?
Intéressant tout ça !
Ah oui quatre vingt millions de spectateurs en 3 semaines après sa sortie... ouch
la démesure