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Je te tiens, tu me tiens... le premier qui rira...
Bof, ça ne fait pas trop rire en fait :(
Quand on parle de la Seconde Guerre mondiale, on la voit tout le temps depuis l’Europe ou les États-Unis. On connaît très bien ce qui s’est passé en Europe dans les années 1930, et aux États-Unis ce qui a déclenché la guerre. Or avec Ishiwara, on la voit du point de vue de l’Asie.
Wang Shu cherche à créer un contre-modèle à la frénésie de construction, s’opposant à la fois à ce conservatisme et à une modernité destructrice. Saluée en 2012 par le prestigieux prix d’architecture Pritzker, son œuvre se distingue par une importante dimension mémorielle, et s'efforce de combler le fossé grandissant qui sépare ville et campagne.
Quand le plateau du Risk voit ses acteurs et ses cartes être redistribués et consolidés...
Si l’Occident, en particulier les États-Unis, souhaite équilibrer la présence et l’influence potentielles de la Chine en Iran sans s’engager dans un jeu à somme nulle, il doit commencer à considérer l’Iran comme un élément clé d’un contexte géographique plus large plutôt que de le considérer uniquement à travers le prisme de la politique du Moyen-Orient et du golfe Persique. Il devrait également se rendre compte que dans un environnement international modifié, l’Iran dispose de quelques options autres que celles de l’Occident.
C'teu question ma bonne dame !
Et vous ? Êtes-vous pour ou contre une domination de la technologie mondiale par la Chine ? Pourquoi ?
Afin d’enrichir ce récit captivant d’une vision artistique d’aujourd’hui, deux maîtres du 9e art - François Schuiten et Li Kunwu - ont créé à quatre mains des oeuvres originales en lien avec la construction du Pékin – Hankou. Ces deux artistes - l’un venu d’Orient, l’autre d’Occident - ont souvent représenté l’univers ferroviaire de Chine et d’Europe. Pour la première fois, ils unissent dans les pages de ce livre leur talent afin d’imaginer ensemble ce monde fascinant et disparu des pionniers du rail en Chine.
Ces deux dessinateurs sont venus en 2017-2018 au Musée Gorsline, steuplé !
PAIX AMOUR LIBERTÉ FLEUR o_O
Le 5 mars, le Premier ministre chinois Li Keqiang a annoncé un budget militaire de 1 355 milliards de yuans (260 milliards de dollars) pour 2021, en hausse de 6,8 % comparé à 202. Voilà un budget en progression constante ces dernières années. Il est certes très loin du budget militaire américain (934 milliards de dollars pour 2021, soit plus que tous les budgets militaires du monde réunis), mais il se situe au deuxième rang mondial.
Xi semble ici s’inspirer de l’attitude de Mao lors de la rupture des relations sino-soviétiques. Le Grand Timonier l’avait ainsi déclaré : « Peu importe la façon dont le vent souffle ou les vagues se brisent, mieux vaut se promener dans le jardin. »
Punchline ? _ Je ne crois pas !
Chine : réseaux sociaux et diplomatie. Cette semaine, dans « Une Leçon de géopolitique », Émilie Aubry s’entretient avec Antoine Bondaz, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, qualifié le 19 mars sur Twitter, de « petite frappe » par Lu Shaye, l’ambassadeur de Chine en France. Retour sur une affaire qui illustre le tournant offensif pris par la diplomatie chinoise.
Outre la furie nationaliste qu’elle a provoqué en Chine, cette controverse qui est encore loin d’être éteinte met en lumière une autre question : les entreprises commerciales ont-elles un devoir vis-à-vis des valeurs universelles que sont les droits de l’homme et les libertés individuelles ? En d’autres termes, le commerce a-t-il une morale ?
Les antagonismes s’expriment aussi violemment dans la société américaine. Huit personnes sont mortes, dont six femmes d’origine asiatique, le 16 mars dans une fusillade à Atlanta. Un drame qui a suscité une vague d’inquiétude dans la communauté asiatique dans le pays, cible de nombreux actes de haine, en particulier depuis que l’ancien président américain Donald Trump a usé du terme « virus chinois ».
Après plus d’un an de quasi-fermeture de ses frontières, Pékin veut faciliter l’entrée de certains ressortissants étrangers et voyageurs. Ceux-ci devront néanmoins être vaccinés avec un sérum chinois pour entrer dans le territoire, alors même que les produits chinois ne sont pas homologués, et donc indisponibles, dans la plupart des pays occidentaux.
Pour Nicholas Thomas, professeur en sécurité sanitaire à la City University de Hong Kong, la Chine voit plus large. Elle anticipe la création d'un passeport vaccinal global chapeauté par l'OMS, dont elle ne veut pas être exclue.
L’avenir s’écrit dorénavant en Chine. Mais quel avenir ?
La vertu légendaire du PCC...
En fait, Tencent, tout comme Alibaba, se retrouve à présent face au Parti qui tente de limiter le jeu en ligne depuis un moment déjà, d’enlever les smartphones des écoles, de limiter les pratiques parfois douteuses du live streaming et de se réapproprier le secteur du paiement numérique.
"En 2017, Gulbahar Haitiwaji a été victime d'un piège machiavélique tissé par l'appareil sécuritaire chinois. Cette Ouïghoure basée en France a été contrainte de retourner dans sa région natale, le Xinjiang, où elle a connu l'enfer des camps d'internement. Un an et demi après sa libération, elle raconte son histoire dans un livre, "Rescapée du Goulag chinois", co-écrit avec Rozenn Morgat et qui paraît ce mardi 12 janvier 2021aux Éditions des Équateurs."
J’ai appris par la suite que le Quai d’Orsay avait créé un dossier pour mon cas et agi comme si j’étais une Française. Mon sort aurait été évoqué à chaque rencontre entre des officiels français et chinois, mais je n’en sais pas beaucoup plus. Au Xinjiang, on m’a juste dit que mes crimes n’étaient pas suffisants pour être condamnée et que je devais remercier le Parti communiste pour sa bienveillance. Avant cela, dès le mois de mars, j’avais été placée dans une résidence surveillée par 11 policiers et subi une vraie cure de remise en forme pour reprendre les 15 kilos que j’avais perdu en détention.
Est-ce le symptôme ou la pathologie ? :((
CherEs lecteurices qui passer par là, si vous aviez la curiosité de regarder par la porte entr'ouverte de l'histoire coloniale et postcoloniale de la France, vous nous feriez très plaisir en vous procurant le présent ouvrage, parce qu'il est fort intéressant, qu'une des 2 autrices, Caroline Grillot est une bonne amie, que le préfacier François Guillemot fut en son temps (et à jamais) une des voix de Berrurier Noir, et que par un heureux accident je me suis trouvé à produire deux petites cartes informatives au sein de ce livre. Voilà la promo faite !
Merci de faire tourner l'info ;)
Cet ouvrage ouvre une porte dérobée sur l'histoire coloniale et postcoloniale de la France, du Viêt Nam et du Maroc à travers celle de quelques-uns de leurs héritiers - des soldats marocains déserteurs de l'armée française en Indochine et ralliés au Viêt Minh. Leur retour au Maroc en 1972 avec familles vietnamiennes ne signe pas la fin de cette saga. Quelques épouses et enfants n'ont pu en effet partir avec eux. A travers une enquête de douze ans, les deux autrices démontrent comment histoire, anthropologie, relations internationales et enjeux tant mémoriels que diplomatiques ont pu se rencontrer et s'élaborer à partir du destin de la dénommée Dung, une "poussière de poussières d'empire".