Etape n°1 : Suivez la procédure prévue par le professionnel en cliquant sur ce lien.
Étape n°2 : Une fois que vous avez reçu le fichier contenant vos données personnelles (ce qui peut prendre un peu de temps en fonction de l'organisme), analysez-le dans notre module dédié.
Vous n’avez pas eu de réponse de l’organisme ?
Utilisez notre formulaire « Exercer vos droits » , l'UFC-Que Choisir vous accompagne dans votre demande relative à vos données personnelles.
A vos droits, prêts, exercez !
Belle dé-monstr-ation !
La machine démontre des lectures et connaissances approfondies sur des sujets immenses. Une parfaite maîtrise sémantique : justesse du vocabulaire, ordre d’apparition des idées, situations sémantiques variées (dialogues, articles, démonstrations étayées plus ou moins longues, on peut lui demander une réponse en x mots ou caractères, écriture de chansons…). Elle produit en plusieurs langues. De manière extrêmement rapide, ces réponses surgissant du tac au tac.
Comprendre le fonctionnement d’une tablette numérique, se repérer sur internet en toute sécurité et la découverte des réseaux sociaux pour lien social.
Bientôt à Vitteaux, en HotCoteDor !
N'allez pas croire qu'un jeune, parce qu'il est jeune, maîtrise forcément les outils numériques, rappelle-t-elle : "La plupart ne savent pas bien utiliser les ressources numériques, que ce soit la recherche ou toutes autres ressources pour trouver de l'info, et n'ont pas d'ordinateur. Faire une recherche sur mobile, c'est une expérience complètement différente. Dès qu'on les met devant de vraies démarches administratives ou de vraies phases de recherches, ils sont complètement désemparés."
Tout de bon cet article.
L’essayiste et avocat Laurent Cohen-Tanugi, nous avait expliqué que l’environnement numérique révèle trois caractéristiques principales avec :
- le caractère structurant des nouvelles technologies de l’information et de la communication, fondatrices d’un nouveau paradigme économique, mais aussi de nouveaux usages sociaux, culturels, politiques ;
- le caractère hiérarchisé de l’univers numérique, dans ses dimensions économique, sociale et géopolitique
- Un caractère régulé ou régulable, et la spécificité de cette régulation. Pour l’Europe le RGPD en fait foi même si cette régulation reste largement insuffisante.
Et donc, si vous voulez vous forger une idée sur chatGPT, commencez à l’utiliser pour en découvrir les forces et les faiblesses. Tirez parti des premières et soyez indulgents pour les secondes ; regardez-le évoluer, comme pour la traduction automatique. En bref, ignorez les professeurs de morale et les experts trop sûrs d’eux-mêmes et jouez avec. Amusez-vous bien !
J'ai donc commencé à m'amuser avec ce chatGPT et son pendant "image", Dall-E, depuis le site https://chat.openai.com/ et ça donne une entrée sur des champs des possibles que je ne soupçonnais pas.
Ce sera différent sur Snapchat... mais on verra ça dans un autre atelier ;)
Ça a l'air important non ?
Et bim, une bonne mise à jour sur la question.
Ce Philippe Piekoszewski-Cuq a fait du bon boulot. Et si ça devenait une porte d'entrée vers plusieurs ateliers...
Les applications peuvent se rapporter à 1 voire plusieurs des 12 domaines suivants :
- Oraliser un texte
- Faciliter la lecture
- Reconnaissance vocale
- Faciliter la production
- Mieux communiquer
- Dénombrer et calculer
- Mieux comprendre
- Tracer et dessiner
- S'exercer plus facilement
- Le temps et l'espace
- Reconnaissance visuelle
- Attention et concentration
Mention spéciale pour la dernière partie « dialoguer en classe autour du numérique », qui vise à faire réfléchir les élèves par « l’exercice du dialogue », « le questionnement », pour ensuite « se positionner de manière critique ». J’aime beaucoup ! Vous pouvez télécharger le manuel ici.
Les cookies tierces parties et les pixels espions, expliqués ci-dessous, permettent en plus le pistage à travers différents sites. Le pistage dans un seul site est généralement utilisé pour un usage statistique. Par contre, le pistage dans différents sites à l'aide des cookies tierces parties est généralement utilisé par les entreprises de publicité pour produire des profils d'utilisateurs anonymes (qui sont alors utilisés pour déterminer quelles publicités devraient être montrées à l'utilisateur et, si l’adresse email de l’utilisateur est connue, pour lui envoyer des mails correspondant à ces publicités).
Les cookies de pistage sont un risque d'atteinte à la vie privée de l'utilisateur mais ils peuvent être supprimés facilement. La plupart des navigateurs récents incluent une option pour supprimer automatiquement les cookies persistant à la fermeture de l'application.
Lecture en cours ../..``>>∆<<
une video
et ici un texte : https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=1143
Mince, Gattaca était prévu pour 2023 ? J'ai pas tout suivi.
Dans cet épisode, Laura interroge le bien-fondé de l’expression “on n’arrête pas le progrès”. Est-ce si évident ? Pourquoi les nouvelles techniques, à l’instar de la 5G, sont-elles souvent contestées ? Le progrès est-il toujours désirable, quelles que soient ses implications sociales, ou environnementales ? François Jarrige, historien des sciences à l’Université de Bourgogne, explique que les innovations techniques ont souvent rencontré des oppositions et qu’aucune n’est inéluctable.
Il critique notamment l’idéologie “technosolutionniste”, selon laquelle l’innovation technologique pourrait résoudre tous les problèmes écologiques, sociaux, culturels et politiques. “L’idée ce n’est pas d’être pour ou contre la technique, c’est d’inventer d’autres systèmes techniques dans d’autres contextes sociaux et démocratiques,” résume-t-il.
Avec également Emmanuel Umpala, directeur de l’Observatoire africain des ressources naturelles.
Les références citées dans l’épisode (dans leur ordre de citation) : François Jarrige, Technocritiques, Du refus des machines à la contestation des technosciences, La Découverte, 2014,
Evgeny Morozov, Pour tout résoudre, Cliquez ici, L'aberration du solutionnisme technologique, FYP Editions, 2014
C'est une plateforme qui encourage les gens à être quelqu'un qu'ils ne sont pas. C'est comme une fête costumée sans fin où chacun essaie de se surpasser.
Par Salwa G. et Mathieu D. « Me prends pas en photo… », « J’veux pas être sur Facebook… », « Si on me voit en photo à cette heure là, j’vais avoir des problèmes… », « J’veux pas qu’on me voit ici… ».
Nous pensons qu’une partie de la jeunesse a pleinement conscience du caractère « manipulatoire» de l’utilisation de leur image. Ils et elles le savent, pour être nés dedans et avoir grandi avec. Nous pensons que certains jeunes sont en pleine lucidité sur les enjeux sociétaux de l’évolution digitale de notre société. L’éducation à l’esprit critique et aux médias n’est pas nouvelle et semble avoir fonctionné pour certains jeunes qui ont appris à gérer leurs images.
Si le scrolling ou le QR code font de plus en plus partie de nos quotidiens, la Défenseure des droits rappelle qu’un «Français sur cinq ne possède ni ordinateur ni tablette», et que ce n’est pas à l’usager de s’adapter au service public mais bien l’inverse. «On ne peut pas imposer à tout le monde d’avoir un smartphone, une connexion internet ou une imprimante», résume l’ancienne présidente du mouvement ATD Quart Monde.
"Protestations, manifestations, émeutes, grèves ; crispation, défiance, dénonciations : depuis quelques années, la colère monte, les peuples ne cessent de rejeter l’autorité et paraissent de moins en moins gouvernables. Jamais le climat n’a été si tendu, laissant nombre de commentateurs dans la sidération.
Les nouvelles technologies sont en fête avec cette nouvelle édition de Vivatech. L'occasion pour les observateurs de prendre le pouls du marché, et pour les grands de ce monde de prêcher la belle parole de l'innovation. Un exercice bien maitrisé et parfaitement exécuté, mais qui se heurte à la réalité de millions de collaborateurs auxquels…
Les cyber-exploitants agricoles sont les passagers de leur propre vie comme de leur tracteur autonome. Ils ont choisi l’autonomie des engins contre celle des humains.
De la matinale d'Inter avec des vrais bouts d'inconnues dedans. Pour une fois, on en apprend, et ils laissent parler.
Appuyez la Touche Alt.
Appuyez successivement sur les touches 0, 1, 8, 3 de votre pavé numérique.
Relâchez la touche Alt.
Et en cherchant ce truc, je tombe sur le site "relire et corriger" qui est vraiment bien enrichi.
https://www.relire-et-corriger.net/ecriture-inclusive
Le Journal des Jeunes, c’est l’émission réalisée par les jeunes de Metz avec Bornybuzz.
Pour cette saison, nos journalistes en herbe volent à la découverte des nouvelles technologies et de leurs usages. Dans ce deuxième épisode de la saison, ils ont pu visiter le Science Center de Luxembourg. Ils se sont également documentés sur des technologies innovantes pour vous les présenter dans des chroniques. En route vers le futur !
Format très intéressant. Sujet forcément dans l'air du temps mais thème déclinable à l'envie. Et l'envie, ça n'est pas ce qui manque.
Vous êtes contre les pédophiles, n'est-ce pas ? Vous ne verrez donc pas d'inconvénient à ce qu'un robot ouvre votre courrier (...)
En somme, la Commission européenne propose qu’un programme décortique les communications privées de 450 millions d’individus afin de s’assurer de leur légalité — le rêve inabouti de la Sécurité d’État est-allemande (Stasi).
Concernant le contrôle parental, nous apprenons à rechercher de l’information sur Internet, installer et paramétrer une application. Si le parent arrive seul, à trouver, installer et utiliser la solution qui lui convient, nous avons relevé le défi de son autonomie numérique…
Depuis quand, et pourquoi vous intéressez-vous au thème de la parentalité à l’ère numérique ?
Depuis 2018, lorsque à la suite d'une conférence du Docteur Ducanda, la municipalité a décidé de faire quelque chose pour lutter contre lézécrans.
On était d’accord, il fallait faire quelque chose. Ce n’est pas possible de laisser des paniques morales se propager…
Qu’est-ce que recouvre cette thématique pour vous ?
La problématique centrale concerne l’éducation aux médias, autrement dit :
“Comment accompagner au mieux son enfant dans les mondes numériques ?”
Sur cette problématique se greffent les questions d’équipement et de compétences informatiques nécessaires pour suivre la scolarité des enfants. Nous distinguons clairement les deux. Ce sont des temporalités et des approches distinctes. D’ailleurs, ce n’est pas le même médiateur qui intervient. Le premier est dédié à la culture numérique, l’autre à l’inclusion. Il s’agit de deux approches qui requièrent des connaissances, des méthodologies et des postures différentes.
Conférence d'Anne Cordier, enseignante-chercheuse en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lorraine, spécialiste des usages et pratiques numériques, particulièrement des jeunes, ainsi que de leurs usages et pratiques de l'information et des médias. Alors que l'existence d'une "culture numérique adolescente" est établie, celle d'une culture numérique enfantine reste un impensé tant pour la recherche que pour le monde social et éducatif. Nous nous interrogerons sur cet "angle mort" de réflexion éducative, puis ferons état d'une démarche de recherche qui a consisté à caractériser et documenter les pratiques numériques d'élèves scolarisés en cycles 2 et 3 dans la famille et dans la classe.
Préhistoire !
Le concept même de logiciel n’est pas évident. Comme le rappelait Marion Créhange, la première titulaire d’un doctorat en informatique en France, la manière d’influencer le comportement des premiers ordinateurs était de changer le branchement des câbles. Un programme était littéralement un plan de câblage qui nécessitait de s’arracher les mains sur des fils.
Simple, basic, Unix !
Dans ses réflexions, Thompson n’a qu’un mot à la bouche : « simplicité ». C’est d’ailleurs lui qui va pousser Ritchie à ce que le langage « C » s’appelle ainsi. Une lettre, c’est simple, efficace. Cette idée de simplicité sous-tend toute l’architecture d’Unix : plutôt que de faire un énorme système hyper complexe qui fait tout, on va faire des petits programmes et leur permettre de s’utiliser l’un l’autre. L’idée est révolutionnaire : un programme peut utiliser un autre pour obtenir une fonctionnalité. Arrive même l’idée du « pipe » qui permet à l’utilisateur de construire ses propres chaines de programmes. Cela semble évident aujourd’hui, mais c’est un progrès énorme à une époque où les concepteurs de systèmes d’exploitation tentent de faire un énorme programme capable de tout faire en même temps. Cette simplicité est d’ailleurs encore aujourd’hui ce qui fait la puissance des systèmes inspirés d’Unix. C’est également ce qui va permettre une vague de collaboration sans précédent : chaque individu peut désormais créer un petit outil qui va accroitre exponentiellement les capacités du système global.
Globalization & Corporation, ton univers impitoyable.
En 1980, un changement politique se fait en occident avec l’élection de Margaret Thatcher au Royaume-Uni et de Ronald Reagan aux États-Unis. Leur doctrine pourrait se résumer en « faire passer les intérêts des entreprises avant ceux des individus ». La recherche, la collaboration, le partage et l’empathie sont devenus des obstacles sur la route de la recherche de profit. Plusieurs grandes mesures vont voir le jour et avoir une importance extrêmement importante, tant sur l’industrie du logiciel que sur notre avenir.
Les concepts de collaboration et de bien-commun sont eux immolés sur l’autel de l’anticommunisme. Faire du profit à tout prix devient un devoir patriotique pour lutter contre le communisme. Cela a tellement bien fonctionné que malgré l’écroulement total du communisme, le concept du bien commun est rayé du vocabulaire. Plus de 30 ans après la chute du mur de Berlin, les gouvernements et les institutions publiques comme les universités doivent encore justifier leurs choix et leurs investissements en termes de rentabilités et de profits futurs.
À propos de la licence du logiciel (propriétaire) :
Grâce à la propriété intellectuelle, le logiciel reste la propriété du fournisseur. On n’achète plus un bien, on achète le droit de l’utiliser dans un cadre strictement défini.
À contrario (ou pas), un des 4 piliers du logiciel libre se découpe, en silhouette :
Notons que cette innovation commerciale (la licence) découle en droite ligne de l’importance morale accordée aux profits. Si l’utilisateur ne peut plus acheter, stocker, réparer et réutiliser un bien, il doit payer à chaque utilisation. L’utilisateur est clairement perdant par rapport au cas d’usage où il achèterait le logiciel comme un bien dont il peut disposer à sa guise.
Les hackers ont du cœur :
Pour perpétuer l’esprit UNIX initial, cet esprit frondeur et hacker, l’université de Berkeley met au point la licence BSD. Cette licence dit, en substance, que vous pouvez faire ce que vous voulez avec le logiciel, y compris le modifier et le revendre, à condition de citer les auteurs.
Richard Stallman et l'imprimante :
Ni une ni deux, RMS démissionne du MIT, où il gardera néanmoins un bureau, pour lancer la Free Software Foundation, la fondation pour le logiciel libre. Son idée est simple : l’industrie vient de confisquer aux informaticiens la liberté de faire tourner les logiciels de leur choix. Il faut récupérer cette liberté.
Il théorise alors les quatre grandes libertés du logiciel libre :
Le droit d’utiliser un logiciel pour n’importe quel usage
Le droit d’étudier un logiciel pour le comprendre
Le droit de modifier un logiciel
Le droit de partager un logiciel et/ou ses modifications
Aujourd’hui, on considère « libre » un logiciel qui permet ces quatre libertés.
Paranoïd ou extra-lucide ?
Si vous utilisez un logiciel propriétaire, vous ne savez pas ce qu’il fait de vos données, que ce soit de données scientifiques, des données personnelles, des documents dans le cadre du travail, des courriers. Un logiciel propriétaire pourrait même envoyer vos données privées aux concepteurs sans votre consentement. L’idée paraissait, à l’époque, issue du cerveau d’un paranoïaque.
En guise de conclusion :
Les pouvoirs publics et les réseaux éducatifs se sont, le plus souvent, laissé prendre au mensonge qu’utiliser les nouvelles technologies était une bonne chose. Que les enfants étaient, de cette manière, éduqués à l’informatique.
Utiliser un smartphone ou une tablette éduque autant à l’informatique que le fait de prendre un taxi éduque à la mécanique et la thermodynamique. Une personne peut faire des milliers de kilomètres en taxi sans jamais avoir la moindre notion de ce qu’est un moteur. Voyager avec Ryanair ne fera jamais de vous un pilote ni un expert en aérodynamique.
L’informatique est devenue une infrastructure humaine trop importante pour être laissée aux mains de quelques monopoles commerciaux. Et la seule manière de leur résister est de tenter de minimiser leur impact sur nos vies. En refusant au maximum d’utiliser leurs solutions. En cherchant des alternatives. En contribuant à leur création. En tentant de comprendre ce que font réellement ces solutions « magiques », avec nos ordinateurs, nos données et nos esprits.
Le logiciel libre et l’open source sont la seule solution que j’envisage pour que les ordinateurs soient des outils au service de l’humain. Il y a 20 ans, les idées de Richard Stallman me semblaient extrémistes. Force est de constater qu’il avait raison. Les logiciels propriétaires ont été essentiellement utilisés pour transformer les utilisateurs en esclaves des ordinateurs. L’ordinateur n’est alors plus un outil, mais un moyen de contrôle.La responsabilité en incombe à tous les militants, qu’ils soient écologistes, gauchistes, anticapitalistes, socialistes, voire même tout simplement locaux. On ne peut pas militer pour l’écologie et la justice sociale tout en favorisant les intérêts des plus grandes entreprises du monde. On ne peut pas militer pour le local en délocalisant sa propre voix à l’autre bout du monde. La responsabilité en incombe à tous les politiques qui ont cédé le contrôle de pays, de continents entiers à quelques entreprises, sous prétexte de gagner quelques voix lors de la prochaine élection.
Voilà le contexte :
Complètement inexistante il y a à peine soixante ans, l’industrie informatique est aujourd’hui devenue la plus importante du monde.
Et voici un classement boursier qui en dit long :
En termes de capitalisation boursière, l’entreprise la plus importante du monde à l’heure où j’écris ces lignes est Apple. La seconde est Microsoft. Si l’on trouve un groupe pétrolier en troisième place, Alphabet (ex-Google) vient en quatrième et Amazon en cinquième place. En sixième place on trouve Tesla, qui produit essentiellement des ordinateurs avec des roues et, en septième place, Meta (ex-Facebook). La place de Facebook est particulièrement emblématique, car la société ne fournit rien d’autre que des sites internet sur lesquels le temps de cerveau des utilisateurs est revendu à des agences publicitaires. Exploiter cette disponibilité de cerveau également le principal revenu d’Alphabet.
De l'avènement du logiciel comme succion prédatrice du temps de cerveau disponible, épaulé par le marketing :
Nous pouvons donc observer qu’une partie importante de l’humanité est sous le contrôle de logiciels appartenant à une poignée de sociétés américaines dont les dirigeants se connaissent d’ailleurs intimement. Les amitiés, les contacts entre proches, les agendas partagés, les heures de nos rendez-vous ? Contrôlés par leurs logiciels. Les informations que vous recevez, privées ou publiques ?Contrôlées par leurs logiciels. Votre position ? Les photos que vous êtes encouragés à prendre à tout bout de champ ? Les produits que vous achetez ? Contrôlés par leurs logiciels ! Le moindre paiement effectué ? Hors paiements en espèce, tout est contrôlé par leurs logiciels. C’est encore pire si vous utilisez votre téléphone pour payer sans contact. Ou Paypal, la plateforme créée par… Elon Musk. Les données des transactions Mastercard sont entièrement revendues à Google. Visa, de son côté, est justement huitième dans notre classement des sociétés les plus importantes.
Pour regagner son libre arbitre, je ne vois qu’une façon de faire : comprendre comment ces plateformes agissent. Comprendre ce qu’est un logiciel, comment il est apparu et comment les logiciels se sont historiquement divisés en deux catégories : les logiciels propriétaires, qui tentent de contrôler leurs utilisateurs, et les logiciels libres, qui tentent d’offrir de la liberté à leurs utilisateurs.
Et puis :
Les logiciels ne sont pas « magiques », ils ne sont pas « sexys » ni « hypercomplexes ». Ce ne sont pas des « nouvelles technologies ». Tous ces mots ne sont que du marketing et l’équivalent sémantique du « lave plus blanc que blanc de nos lessives ». Ce ne sont que des mots infligés par des entreprises au pouvoir démesuré dont le cœur est le marketing, le mensonge.
Pour illustrer ce que Microsoft fait aux communs :
Le texte a cependant des limites. Imaginons que nous souhaitions lui ajouter une mise en forme. L’une des solutions serait de définir un format complètement différent du texte standard (ASCII ou UTF-8). C’est ce qu’a fait par exemple Microsoft avec Word et le format .doc (ensuite devenu .docx). L’intérêt est évident pour l’entreprise : une fois qu’un utilisateur sauve ses données au format .doc, il est obligé d’utiliser Microsoft Word pour y accéder. Il ne peut pas utiliser un concurrent, car le format est propriétaire et que seul Microsoft Word permet d’ouvrir les documents. L’utilisateur doit donc convertir toutes ses données, ce qui peut être très long, voire impossible. L’utilisateur est prisonnier d’un logiciel appartenant à une entreprise. Ce n’est pas un détail, c’est une technique commerciale sciemment mise au point. Le terme technique est « vendor lock-in ».
Impeccable définition :
Sous le terme « Intelligence artificielle », nous avons en fait conçu des systèmes statistiques à prophéties autoréalisatrices. Le simple fait de croire que ces systèmes puissent avoir raison crée de toutes pièces une réalité dans laquelle ces algorithmes ont raison.
Les fieffés coquins, les vils manipulateurs, les ourdisseurs de consentement, grrrrr :
Ces entreprises cherchent également à cacher le plus possible le fonctionnement d’Internet tel que je vous l’ai expliqué. Elles tentent de le rendre incompréhensible, magique, mystique. Elles s’opposent légalement à toute tentative de comprendre les protocoles et les formats qu’elles utilisent. C’est à dessein. Parce que (dès) que la compréhension est la première étape, nécessaire et indispensable, vers la liberté.
Tenter de le comprendre est un devoir. Une rébellion. Si mon écran me captive autant, s’il affiche ces données particulières, c’est parce que d’autres êtres humains y ont un intérêt majeur. Parce qu’ils l’ont décidé. Et ce n’est (pas) probablement pas dans mon intérêt de leur obéir aveuglément. Ni dans celui de la société au sens large.
[...] avec l'intitulé de 2020, "l'Éducation nationale nomme explicitement les solutions de l’entreprise américaine comme spécificité technique et exclut donc toute alternative", tance Anticor.
[...] cette attribution va aussi à l'encontre du code de l'Éducation, qui encourage le service public à recourir au logiciel libre pour ses usagers.
[...] Anticor "pointe une relation commerciale dangereuse entre une administration française et un géant du numérique jouissant d’un monopole quasi absolu alors même que des entreprises offrent des solutions équivalentes".
Camarades écouteurs, en mai, c'est la 1.000ème édition de La Planète Bleue ! Pour produire ces 1.000 émissions, soit un peu plus de 1.000 heures de programme, j'ai sélectionné pour vous plus de 10.000 titres de musiques innovantes originaires de tous les pays du monde, une multitude de morceaux inédits, introuvables, directement envoyés par des musiciens et des labels disséminés aux coins du globe.
Merci Yves Blanc et tes équipes de nous avoir ouvert à toutes ces musiques hybrides et sensibles !
Si vous n'utilisez pas OneDrive, voici comment le désactiver et supprimer son icône du volet de navigation de l'explorateur de fichiers de Windows 10.
Pour ouvrir LibreOffice : Dites « Ouvrir LibreOffice ».
Pour créer un nouveau document texte : Dites « Appuyer sur Control N ».
J'en suis baba. OK, le logiciel de base coûte 75€ mais suite à la rencontre d'un utilisateur totalement novice "en informatique" et qui en plus à la "tremblotte compulsive", cette solution va lui permettre de consigner les différentes vies qu'il a eu sous forme de livre.
Pour enregistrer un nouveau document : Dites « Appuyer sur Control S ».
La boîte de dialogue Enregistrer Sous s'ouvre.
Dictez le nom de fichier. Dites « <fichier> point O D T ».Dites « Cliquer sur Enregistrer ».
La boîte de dialogue Enregistrer Sous se ferme.
« Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les écrans sans jamais oser le demander »
L’Ireps Nouvelle-Aquitaine et L’Agora·MDA sont très heureux de partager ce document réalisé au cours du
dernier trimestre 2021 et dont la vocation est de contribuer à la construction d’une culture professionnelle des
usages numériques juvéniles.
En effet, si les adolescents sont indéniablement les spécialistes des « boutons » et des services proposés par
leurs applications favorites, notre rôle de professionnel est de les sensibiliser, ainsi que leur famille, aux enjeux
sous-jacents.
Au contact direct de cette génération « connectée », votre quotidien vous oblige à comprendre le sens et
les usages du plus grand nombre, à accompagner les conséquences de certains mésusages mais surtout à en
connaitre les enjeux. Cette nouvelle mission éducative, à la croisée de la culture adolescente et des mondes
numériques nécessite pour chacun un effort de formation.
Perso, je suis fan des illustrations, et de la pluralité des propos. Et vous ?
10 conférences auxquelles il suffit de s'inscrire. Le lien de connexion sera diffusé 8 jours avant chaque conférence.
Par exemple, Vrai ou faux ? :
Dommage, ça ne parle pas de l'empreinte carbone de TiTok + Snapchat (mais ça marche aussi avec twitter et facebook)...
Revue Nouvelle | Revue de l'Enfance et de l'Adolescence 2021/2 | Cairn.info
Achat électronique UNIQUEMENT !
On va tester le format. Le sommaire est tellement attirant...
La place des écrans et du numérique dans les familles, ainsi que la place que ces outils occupent dans la vie des enfants et des adolescents, sont source de vives polémiques, si bien qu’il n’est pas toujours évident pour les parents et les professionnels de se positionner. Basé sur l’expérience de l’auteur en éducation aux médias, auprès d’adolescents et de parents, cet article esquisse les déterminants individuels, culturels et technologiques à prendre en compte pour une éducation aux médias.
Je me souviens d'avoir expliqué à mes gosses en leur donnant accès à l'ordi familial qu'Internet était comme "la rue" où on ne parle pas aux inconnus ni ne leur répond. Je leur ai montré que certains pop-ups relevaient de la prostitution, d'autres d'escroqueries et je les ai invités à les refermer immédiatement (comme on refuse de répondre à un adulte dans la rue). Résultat, leur première consultation d'un site X pas avant 15 ans, aucune pratique Internet déplacée avant cet âge (ils sont adultes maintenant, on en parle sans pb)
Tweet de Emmanuel L
https://twitter.com/mediaimmediat/status/1481580725535219712
le candidat Emmanuel Macron veut introduire l’enseignement du code informatique « à partir de la 5e »
Et la philosophie est enseignée seulement à partir de la première, est-ce bien raisonnable ?
Quand une ONG parodie le discours des start-up pour financer des actions économiques en Ouganda à destination des agriculteurs de la vallée.
Waouh !
41 % des parents ont déjà utilisé un logiciel d’espionnage (dont 30 % en concertation avec leur enfant) soit une progression de 70 % en 2 ans. On ne parle plus ici de contrôle mais de flicage !
Préparer et partager ses randonnées avec Visorando.
Le profil des victimes coïncide avec les populations déjà brutalisées par l’ordre social : personnes âgées, ruraux, prolétaires, non-diplômés, détenus, étrangers.
En achevant la lecture de ce court article, je repense à une discussion que nous avions avec D. pendant un accompagnement individuel au centre numérique. Il souhaitait de tout son cœur contenir le rouleau compresseur que représente cette virtualisation des services au public. Être obligé de donner une adresse mail à l'institution, dans son cas, lui laisse entrevoir un avenir rugueux, âpre, sans plus aucun échange humain, et subir les coups de pression de la machine. Il m'a redit combien comptait nos rendez-vous. En fait, nous autres, sommes des sortes de filets de sécurité, comme lorsque les trapézistes ratent les bras de leur compagnon funambules à 7 mètres du sol...
Article instructif qui mériterait d'être diffusé auprès des tous les agents.
Par contre, quand les auteures écrivent "Les malfaiteurs demandent une rançon de 2500 bitcoins, pas grand-chose à l’époque" ça me fait hum hum penser qu'elles doivent pas être au courant qu'en novembre 2019, le bitcoin était bien au plus bas en fin de cette année-là avec une valeur de +/- 7 000€, ce qui représentait quand même une "demande de rançon" de 1 750 0000 €. Quand même ! C'est vrai qu'on est à Nuit St George et que nous n'avons pas les mêmes valeurs mais ça leur vaudrait bien un prière d'insérer, ou au moins de vérifier à partir de ce site par exemple : https://www.weareclimb.fr/guides/investir/bitcoin/prix-du-bitcoin#section2
Dès qu'il s'agit d'argent public, la PQR ne vérifie plus grand-chose... Ah pardon, c'est pas le Bien Public, c'est France Télévision... Et bin alors ?
Dans le cadre de la campagne présidentielle, La #MedNum et ses sociétaires, acteurs de médiation numérique sur tout le territoire, se mobilisent collectivement et proposent un plaidoyer pour un numérique d’intérêt général et lutter contre la précarité numérique. Il contient 62 mesures concrètes dans les secteurs de l’éducation, de l’emploi et du pouvoir d’achat, de la santé et de l’environnement afin de réellement agir pour l’inclusion numérique de tous et de toutes. (Zoomacom | @zoomacom@framapiaf.org)