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“Il n’y a qu’à l’étranger que je suis français,” dit Amar Mekrous, 46 ans, qui a grandi en banlieue parisienne auprès de parents immigrés. “Je suis français, je suis marié à une Française, je parle français et je vis français. J’aime la bouffe, la culture françaises. Mais dans mon pays, je ne suis pas français.’’
Pour elle [Rama Yade], l’accent que met la campagne présidentielle sur l’immigration est “la consécration de 20 ans de pourrissement” d’une culture politique obsédée par l’identité nationale.
Sans commentaire.
Uh uh uh, le Gorafi vise juste, sous couvert de gaudriole il met en lumière les motivations intimes et très sérieuses qui peuvent nous animer. Et le rire, c'est bon aussi !
De leurs côtés, les services du démon ne souhaitent pas communiquer sur leurs chiffres d’affaires ou le nombre d’âmes collectées. « C’est tristement confidentiel. Nos clients nous font confiance dans la réussite de leur vie terrestre, ce qui leur arrivera dans leur vie d’après ne concerne qu’eux seuls, c’est leur vie privée » commente un porte-parole.
J'ai eu un gros dossier à supprimer (rm -r) et je ne me souvenais plus du chemin d'accès aux dossiers de données de mes utilisateurs.
Les fichiers Nextcloud sont théoriquement dans :
/home/yunohost.app/nextcloud/data/utilsateur_yunohost/files
Ah oui quand même ! (comme dirait le Claude, encore un coup des 26000couverts mdr :)
Cette formation s’adresse à toutes les personnes qui désirent vivre en France, ou viennent de s’y installer, et souhaitent mieux connaître l’organisation et le fonctionnement de notre pays.
Quand je regarde le plan du cours, je ne peux m'empêcher de penser à nos enfants, ados, jeunes adultes qui, bien que sensément informés pourraient tirer grands bénéfices de cette "formation". Et peut-être bien aussi tous les adultes en passant !
Plan de cours
• Chapitre 1 : « Découvrir le service public »
• Chapitre 2 : « Les premières démarches »
• Chapitre 3 : « Se loger »
• Chapitre 4 : « Accéder à l'emploi et créer son activité »
• Chapitre 5 : « Accéder à l’éducation et à la scolarité »
• Chapitre 6 : « Se soigner »
• Chapitre 7 : « Participer à la vie sociale »
De la culture, japonaise, à un gros câlin, mondial !
Comme vous, peut-être, après avoir vu Totoro, j’ai eu l’impression qu’Hayao Miyazaki, le réalisateur et scénariste, m’avait fait un gros câlin en me disant, courage, on est là, Totoro est là. Je suis entré dans cet univers-là et… j’avoue que j’en suis jamais vraiment sorti…
ZOMBIES est un spectacle grinçant qui joue avec la figure du Zombie pour questionner avec humour et poésie nos rapports au smartphone, au transhumanisme et à notre propre fin.
Et pour écouter le metteur en scène dans l'émission LSD de France Culture : https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/la-mort-vivante-24-obsession-vampire
Pour aller plus loin et complèter cette découverte, cet article https://heyme.care/fr/blog/smombie-quand-ton-smartphone-te-transforme-en-zombie explique ce qu'est le smombie :
Le terme smombie désigne les utilisateurs de smartphones sur la voie publique, indépendamment du trafic ou des dangers possibles que cela pourrait entraîner aussi bien pour eux que pour les usagers de la route : automobilistes, cyclistes, conducteurs de transports en commun, etc. On peut les reconnaître immédiatement, par leur comportement et leur dépendance compulsive : la tête baissée, le dos voûté et les yeux fixés sur leur smartphone. En France, les chiffres sont alarmants. On compte environ 475 victimes en 2018.
Est ce que la Région BFC est engagée dans le même type de démarche. Ça pourrait être une valeur ajoutée d'en avoir une devant le musée !
Ce serait le genre de cours de bases à avoir au FabLab !
Ce que vous allez apprendre / À la fin de ce cours, vous serez capable de :
identifier les différents capteurs d'un smartphone
utiliser et choisir les applications qui permettent d'accéder aux capteurs
utiliser votre smartphone pour réaliser des expériences en mécanique
utiliser votre smartphone pour réaliser des expériences en optique
utiliser votre smartphone pour réaliser des expériences en acoustique
Une belle ressource pour comprendre l'ordinateur sous linux et une marche à suivre pour reconditionner.
On ne peut plus clair, et glaçant. La campagne contre ces machines engageant des vies humaines de manière autonome est lancée.
Chapatte sait mettre le doigt là où ça pique !
MultiSystem est un logiciel libre sous licence GPL-V3 et il est vraiment très pratique pour embarquer des sytèmes sur une clé usb.
Pour l'installer depuis Linux Mint, Ubuntu ou dérivés :
Sous Ubuntu activez le dépôt "universe" sur votre système.
sudo add-apt-repository "deb http://archive.ubuntu.com/ubuntu $(lsb_release -sc) universe"
Ajoutez le Depôt de MultiSystem
sudo apt-add-repository 'deb http://liveusb.info/multisystem/depot all main'
Ajoutez la clé publique
wget -q -O - http://liveusb.info/multisystem/depot/multisystem.asc | sudo apt-key add -
Rechargez les sources
sudo apt-get update
Installez MultiSystem
sudo apt-get install multisystem
Ils ont de la chance, les managers de la République. Les gens ordinaires n’ont pas encore ressenti l’intérêt de faire la grève et d’en savourer les fruits. Pourtant, il y aurait de quoi s’offrir de belles journées. Il y aurait de quoi s’offrir à soi-même une belle émotion, libératrice, gentiment subversive, brève et forte. Faire la grève, ce serait, disons-le comme ça, une grande, une belle petite joie, j’en suis sûr. Ne serait-ce que d’un petit point de vue personnel, au ras du quotidien.
Pensons aux matins d’hiver, dans les grandes villes. Au métro bondé, aux odeurs de cheveux, de déodorant, à l’étouffoir des petites angoisses, de la lassitude résignée des salariés « qui ne sont rien », d’après ce qu’en dit le grand manager des Français. Coincé entre les épaules et les soupirs des inconnus, on se prend à rêver. Et si aujourd’hui, on ne se laissait pas faire ? Et si on n’avait pas à subir les mille servitudes du travail aujourd’hui ? Oui, on se prend à rêver. Et on repense, avec un peu d’anxiété peut-être, mais aussi une jubilation secrète, à nos journées d’école buissonnière.
Il y a des jours comme ça. Des jours où la farandole des imposteurs, à la télévision, à la radio, au bureau, sur le chantier, exaspère plus que de raison. Des jours où on nous en demande trop, en tout cas plus que ce qu’on est en mesure de donner. Et d’un seul coup, c’est étrange n’est-ce pas ?, le refus, la ruse, le demi-tour nous appellent. Et nous disent : là, vraiment, non. Hier d’accord, demain je ne dis pas. Mais aujourd’hui : non.
Parfois, ce n’est pas notre faute. Un enfant est malade, la salle de bain du voisin fuit à travers le plafond, la neige encombre les routes, la grippe nous saute à la gorge. Alors on reste à la maison, secrètement libéré, secrètement rebellé contre les agendas partagés, les réunions hebdomadaires, les problèmes en suspens, les directions des ressources humaines, les premiers de cordée.
La grève au fond, il faudrait l’essayer, pour voir. Allez savoir si perdre un jour de salaire, peut-être même plusieurs, n’en vaudrait pas la peine. Ne serait-ce que pour voir la tête de ceux qui trouvent ça fou, ou qui trouvent ça irresponsable. Payer pour voir, comme un coup de poker dérisoire et drôle.
Je me prends à songer à la puissance qu’aurait, dans mon beau pays malade, une grève générale faisant s’affaler en une journée tout l’ordre dominant, le gelant soudain, le faisant baisser d’un ton, le contraignant à l’immobilisme absolu, silencieux, fulminant, dans l’incompréhension générale, la stupéfaction et l’anxiété. Quelle panache ! « Mais que veulent-ils ? » se répéterait-on alors partout, sur les plateaux de télévision, dans les cabinets, dans les salles de réunion du Président. Enfin la question serait posée. Et une réponse serait attendue.
Quelle belle fiction ce serait, quel beau roman d’un jour ! Le lendemain, j’en suis sûr, quelle que soit la réaction du patron, des collègues, des confrères, au moins, avouons-le, on sourirait. Notre journée, notre semaine peut-être, et pourquoi pas notre mois d’école buissonnière, aurait eu le mérite de tout chambouler en silence. De faire peur, sans un geste violent. Et imaginons alors que nous ne soyons pas seul à nous lever le matin, à nous rendre au travail et, plutôt que de mentir pour nous tirer d’affaire, à clamer haut et fort qu’aujourd’hui, on répondra « non » à tous les ordres. Et que la loi nous protège.
Oui, vraiment, ils ont de la chance, les managers de la République.
Après s'être intéressée à des traditions aussi particulières que le fameux Jour des morts, typique de la culture mexicaine, ses efforts picturaux semblent dorénavant se focaliser sur l'absurdité de notre XXIe siècle hypermédiatique, sur sa vulgarité et sa folie normative. Un univers de câbles et de rouages dans lequel notre humanité achève de s'effondrer, engloutie sous la pression des algorithmes et de la spéculation.
Ses dessins sont vraiment saisissant pour ce qu'ils présentent d'excès. Mais encore une fois, la messagère n'y est pour rien si c'est violent, dur ou... excessif. C'est bien de la réalité vécu par une majorité de l'humanité dont mette en lumière les dessins de cette artiste.
Sauvegarder et faire connaitre le patrimoine.
Un bijou ce site belge. J'y passe des heures à naviguer dans les articles. Quelle collection !
Ah la la, tralalère
L’essor d’internet et des jeux en ligne ont complexifié le rapport au jeu, car aujourd’hui la connexion est quasi-obligatoire pour toute console de jeu vidéo et le paramétrage s’avère bien souvent compliqué. Or paramétrer sa console c’est IN-DIS-PEN-SABLE ! Non seulement elle ne fonctionnera pas de manière optimale sans cette étape cruciale. Mais surtout, la paramétrer c’est vous assurer de garder la main sur les possibilités qui seront offertes à l’enfant.
Comment animer une communauté d’entraide ? Ou susciter l’intelligence collective pour concevoir ou faire avancer un projet ? Sur quelles méthodes et pratiques pouvoir compter pour animer un atelier coopératif, ou l’ensemble d’une démarche participative ? Ou aider à la mise en place d’un projet de co-conception ?